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sarkozy

  • marin des marinades

     

    Mise à jour :

    Cette chanson a été mise en musique et chantée par Max Lhopital et est enregistrée auprès de la SACEM.

     

    Maman les p’tits bateaux …


    Hé ho – hé ho – hé ho

    Ho hé – écho – écho

    Tempêtes et cahots

    Bourrasques et rouleaux



    Brique brique le pont

    Mon gentil moussaillon

    Dans l’embrun et la brume

    De la cale à la hune



    Dans les vents et l’écume

    Sous l’orage l’infortune

    Astique frotte sans répit

    Sans te plaindre et sans cris



    Ecarte les matelots

    Qui te couvent des yeux

    Te trouvent gracieux

    Et t’offrent des cadeaux



    Hé ho – hé ho – hé ho

    Ho hé – écho – écho

    Tangage et boléro

    Roulis et vertigo



    Hisse et haut matelot

    Tu es fort maintenant

    Tu maîtrises les flots

    Tu peux parler aux grands



    C’est toi qui à présent

    Offre au jeun’ moussaillon

    Des cadeaux des présents

    Et des regards fripons



    Tu parcours l’océan

    Du nadir au zénith

    De l’ouest à l’orient

    D’indiennes en annamites



    Hé ho – hé ho – hé ho

    Ho hé – écho – écho

    Indiennes en sari

    Annamites bikini



    Tu as une jambe de bois

    Mais tu es capitaine

    D’un galion de trois mats

    Qui court la prétentaine



    Tu as rempli tes coffres

    De soieries et d’étoffes

    De pierres et lingots d’or

    De diamants tricolores



    Tu as tranché des gorges

    Et bu des alcools d’orge

    Eventré sans vergogne

    Des cafards des vigognes



    Hé ho – hé ho – hé ho

    Ho hé – écho – écho

    Sabre de sang et d’or

    Crâne de commodore



    Tu as perdu tes dents

    Scorbut et mauvais vents

    Ton œil s’est fait la malle

    Mais ne te fait plus mal



    Le bandeau qui le cache

    Porte une tête de mort

    Car tu te crois bravache

    Quand tu es presque mort



    C’est la fin mon ami

    Tu perds ton sang glacé

    C’est la fin de ta vie

    Bien trop vite passée



    Hé ho – hé ho – hé ho

    Ho hé – écho – écho

    Adieu la belle vie

    Les filles et l’eau de vie



  • La guenon Esopesque chez les bobos

    Ceci est un extrait du poème ... le début !

     

    Cette guenuche en fureur donne bien du fil à retordre à Thanatos !

  • L'exception culturelle à la Française ! et Carla à poil chante 'je suis ta tienne'

     

    Deux excellents articles sur le discours de N. Sarkozy sur la culture en 2009

     

     

     

    LE MIEN

     

     

     

    Et

     

     

     

    Celui de Didier Rykner

     

     

     

     

    Au JT sur France2 ce midi,

    V. Pécresse dit vouloir vendre les biens immobiliers de l’Université de Paris : cent vingt millions d’euros.

     

     

     

    Oui, c’est une excellente idée, vendons la France, et laissons les étrangers s’en occuper.

     

     

  • à chacun son opinion !

    Trouvé sur le web :

    http://www.mga.asso.fr/

     

    La nouvelle Marseillaise par Graeme Allwright - Sylvie Dien



    Pour tous les enfants de la terre
    Chantons amour et liberté.
    Contre toutes les haines et les guerres
    L'étendard d'espoir est levé
    L'étendard de justice et de paix.
    Rassemblons nos forces, notre courage
    Pour vaincre la misère et la peur
    Que règnent au fond de nos coeurs
    L'amitié la joie et le partage.
    La flamme qui nous éclaire,
    Traverse les frontières
    Partons, partons, amis, solidaires
    Marchons vers la lumière.

    © 2005, Graeme Allwright - Sylvie Dien

     

     

     

    La Marseillaise - paroles en français

     

    Allons enfants de la Patrie
    Le jour de gloire est arrivé !
    Contre nous de la tyrannie
    L'étendard sanglant est levé
    Entendez-vous dans nos campagnes
    Mugir ces féroces soldats?
    Ils viennent jusque dans vos bras.
    Égorger vos fils, vos compagnes!

    Aux armes citoyens
    Formez vos bataillons
    Marchons, marchons
    Qu'un sang impur
    Abreuve nos sillons

    Que veut cette horde d'esclaves
    De traîtres, de rois conjurés?
    Pour qui ces ignobles entraves
    Ces fers dès longtemps préparés?
    Français, pour nous, ah! quel outrage
    Quels transports il doit exciter?
    C'est nous qu'on ose méditer
    De rendre à l'antique esclavage!

    Quoi ces cohortes étrangères!
    Feraient la loi dans nos foyers!
    Quoi! ces phalanges mercenaires
    Terrasseraient nos fils guerriers!
    Grand Dieu! par des mains enchaînées
    Nos fronts sous le joug se ploieraient
    De vils despotes deviendraient
    Les maîtres des destinées.

    Tremblez, tyrans et vous perfides
    L'opprobre de tous les partis
    Tremblez! vos projets parricides
    Vont enfin recevoir leurs prix!
    Tout est soldat pour vous combattre
    S'ils tombent, nos jeunes héros
    La France en produit de nouveaux,
    Contre vous tout prêts à se battre.

    Français, en guerriers magnanimes
    Portez ou retenez vos coups!
    Épargnez ces tristes victimes
    À regret s'armant contre nous
    Mais ces despotes sanguinaires
    Mais ces complices de Bouillé
    Tous ces tigres qui, sans pitié
    Déchirent le sein de leur mère!

    Nous entrerons dans la carrière
    Quand nos aînés n'y seront plus
    Nous y trouverons leur poussière
    Et la trace de leurs vertus
    Bien moins jaloux de leur survivre
    Que de partager leur cercueil
    Nous aurons le sublime orgueil
    De les venger ou de les suivre!

    Amour sacré de la Patrie
    Conduis, soutiens nos bras vengeurs
    Liberté, Liberté chérie
    Combats avec tes défenseurs!
    Sous nos drapeaux, que la victoire
    Accoure à tes mâles accents
    Que tes ennemis expirants
    Voient ton triomphe et notre gloire!

     

  • L'âme de la Réunion

    Et arriva ce qui devait bien arriver
    quand on arrive sur ces rives adossées
    au grand piton fournaise eructant
    sang sonnet cahotant aux marées aux vents
    le nez sur la point de la table la tête
    sur les mains posées sur les tempêtes
    salées humides des larmes de Sainte Anne
    convulsive prise de possession montagne
    bel ibiscus conte-nous encore tes histoires
    d'arômes envoûtants écrits au vieux grimoires
    de la main d'un bougainvillier de l'autre
    un chapelet de perles quelques patrenôtres
    restez des nôtres oubliez le paquebot
    qui s'avance sa proue fendant les flots
    emmenant loin de nous vers la france
    ingrate et inique l'âme de nos danses.

     
     
                                                     Yfig