LES GRANDS CHEFS
Allégorie parabolique des imbéciles qui nous gouvernent et nous offrent leur tambouille pitoyable et dégueulasse !
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Allégorie parabolique des imbéciles qui nous gouvernent et nous offrent leur tambouille pitoyable et dégueulasse !
Bien à l’écart, des beaux quartiers Bien à l'étroit dans son costard rayé
Et de leur symbolisme altier, Avec sur la tête un sablier
On perçoit, à travers la brume On croit voir une plume qui lui pousse
Une sombre vie, qui se consume. Qui sort de son trou à mousse
Elle est celle, d’un pauvre diable Pauvre diable en bien piteux état
Traînant sa silhouette misérable, Tournant comme une girouette folle
Revêtue de poussiéreux haillons, Soulevant poussières et crachats
Portant d’ineffaçables horions. Portant son cartable à l'épaule
Il passe devant une mairie Il se présente à la mairie
Regarde le fronton, et puis rit Espoir de se voir élire
La belle devise de la France La France à besoin de son délire
A pour lui, une odeur bien rance. De ses odeurs fragrances pourries
Dans l’abîme, de son exclusion Dans la cabine à érections
Il a perdu toute illusion. Il vote pour lui le con !
Destinée remplie, de ratures Mais il à fait tout plein de ratures
Un fantôme, que la faim torture. Sur le bulletin de forfaiture
Pour les guignols technocratiques Les guignols zygomatiques
Il n’est juste qu’une, statistique Ont ramassé un tas de tiques
Un chiffre classé dans un dossier Auraient dû se laver les pieds
Et qu’ils ont aussitôt fait, d’oublier. Auraient senti moins mauvais
Quand il poussera son dernier râle, Quand on fera pousser les crânes
Dans l’indifférence générale, A la différence des bananes
Loin de l'égoïsme de ce monde, Pas de besoin d'une égoïne
Son âme ira seule, jusqu’à sa tombe. Pour que seules ils tombent
Signé : Mister X et Yfig
Vous y croyez, vous, au génie ?
Signé : Yfig génie !
Tu crois vraiment qu’t’es seul sur terre
Qu’il n’y a que toi dans la misère
Au lieu de pleurer sur ton sort
Tu ferais mieux de voir ailleurs
Sais-tu ce qui s’ passe au Népal
Se qui se trame au Sénégal
Tu rêves de vivre aux USA
Si tu savais s’qui s’passe là bas
Dans ta banlieue tu désespères
Tu dis qu’tu vis dans la galère
Mais que fais-tu pour t’en sortir
Sauf te comporter en martyr
A part la drogue tu sais quoi faire
Dans ta banlieue c’est quoi – l’enfer
Et en parlant de religions
Tes exigences sont légions
Manger que du veau baptisé
Que des vaches ayant communié
Du mouton qui pue pas des pieds
Des volailles qu’on n’a pas violées
C’est pas comme ça qu’t’y arrivera
Tu ferais mieux de prendre exemple
Sur ceux qu’ont des finances amples
Et qu’on ne traite pas de cailleras
Y nous cassent pas les roubignoles
Y font pas cramer les bagnoles
Les banquiers s’amusent de milliards
Les cons d’ pêcheurs bouffent des homards
Les agriculteurs de Bruxelles
Touchent des radis ramassent du blé
N’ont pas besoin d’faire la vaisselle
Les cuisiniers taxe diminuée
T’as pas compris pov’ouistiti
L’argent suffit pas d’ le gagner
Faut s’lever tôt pour l’ ramasser
Les subventions service compris
La prochaine fois tu t’souviendras
Cramer une tire rend bien service
A ceux qui les vendent et sévissent
Trafiquent à donf se font du gras
En 2012 tu voteras
Pour Yfig si tu veux qu’ça change
Y a que ceux qui baissent les bras
Qui se complaisent dans la fange
Mais où sont mes rêves d’enfant
Tétant le sein blanc de mon exquise maman
Je rêvais au futur d’une vie d’aventures
Socrate avalant la ciguë
Polyphème crachant cris aigus
Ulysse l’aveuglant sans pitié
Platon célébrant un banquet
Rêvant d’Iliade en Odyssée
Gorgone par Persée étêtée
A Roncevaux Rolland son cor
Paroles d’argent silence d’or
Nemo vivant son Nautilus
Je cherche encore la liberté
Fraternité égalité
Kidnappés arrachés
Aux serres d’harfang
Mais où sont mes rêves d’enfant
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rentrez chez vous
Ou chez Reding
Allez partout
Plum-Plum-pouding
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Au Luxembourg
Pas à carrefour
Ou à Bruxelles
C'est sans appel
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
On veut plus d'vous
Ni de vos poux
On veut des sous
Pour nos ripoux
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Taillez la route
En caravane
Jusqu'à Beyrouth
Ou Amsterdam
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Dépêchez-vous
Ca craint pour vous
Y'a Sarkozy
Dans la chienlit
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Regardez-vous
N'êtes pas comme nous
De not' pays
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rentrez chez vous
On reste ici
C'est not'pays
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
En roumanie
Z'avez une chance
D'mieux vivre qu'en France
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Regardez-nous
On reste ici
On sue l’burnous
En Sarkozie
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Faites-nous plaisir
Et à messire
Dans vot' roulotte
Not'masselotte
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Emmenez-le
Bien loin d'ici
Le cauteleux
Le Tsarkozy
Ca vaut bien un p’tit mirliton !
Nicolas not’ bon président
Elu au suffrage universel
Pour une durée de cinq ans
Ouvre et ce n’est pas virtuel
Toutes les portes de la Nation
Incontinent à ses rejetons
Sans demander l’avis du peuple
Mais à quoi bon le peuple
Election piège à cons !
Signé le p’tit mirliton ................. d'Ablon
Voici un plagiat de la chanson de Renaud : les bobos
Les Gogoches
On les appelle pigeons phalènes
Ou bien gogoches pour les intimes
Dans les chansons de Ségolène
On les retrouve en pleine trime
Ils sont issus d’une vieille classe
Après les courges et les scatos
Pas loin des gauffres, quoique plus chiasses
Je vais vous en faire l’ lever d’rideau
Sont tous autistes c’est comme ça
Mais leur passe-temps c'est l’populo
Dans l’dramatique et les pieds plats
Sont pas peu fiers d’êt’ des gogos
Les gogoches, les gogoches
Les gogoches, les gogoches
Ils vivent près des lieux pavés
ou dans une caravane tout’ moche
Asiles d’autistes pour ch’tarbés,
Ils admirent tant l’général Foch
ont des enfants dont faut s’méfier,
qui sucent leur pouce jusqu’à 20 ans
Qui chient d’travers sans se priver
Priver d’ caillera, et de bon temps
L’anus qui fume, je les comprends,
font leurs mariolles leurs intellos
Ont des 4x4, mais pas un franc,
C’est pour ça qu’ils ont des vélos
Les gogoches, les gogoches
Les gogoches, les gogoches
Ils achètent ‘où est l’bec’ philippe Delerme, Onfray et Télérama,
Mais ne les lisent, c’est rassurant
D’ailleurs y manquerait plus qu’ça.
Ils z’yeutent les restos Congolais mais de loin
Ils passent devant sans s’arrêter
La côte de bœuf dans le lointain
Ils la regardent mais sur ARTE
Canal peluche, télé porno
Sauf pour les matchs du PSG
Là ils ont télé rigolos
Les gogoches, les gogoches
Les gogoches, les gogoches
Ils écoutent sur leur chaîne hi fi
Radio KTO toute la nuit
Alain Bashung Jacques Dufilo
Et forcement Albert Ducros
Ils aiment le rouge sans même savoir
que l’rouge ça tâche
Bedos cet abruti d’bâtard,
Ce ringard cette ganache
Ils votent Jack Lang et Sarkozy
Mais aiment surtout les z’écolos
Ils enculent le Maire de Paris,
Ardisson et son pote Marco
Les gogoches, les gogoches
Les gogoches, les gogoches
La femme ressemble à Ségolène
Et l'homme a des allures d’ barjo
Pour leur cache-sexe alu-xylène
Zadig Voltaire Chrisine Bravo
Ils montrent des mines fatiguées,
les estaminets et les arts martiaux
boivent du coca glacé en écoutant la pluie tomber
une plume dans l’cul bien déchiré
Pour ces gens que je n'aime pas trop
par certains côtés, je redoute…
Qu’on est pas là d’s’en débarrasser
Les gogoches, les gogoches
Les gogoches, les gogoches