REVOLUTION
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La télé est-elle la réalité ?
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Chanson TRÈS colérique (mais pas cholérique)
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La télé est-elle la réalité ?
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Chanson TRÈS colérique (mais pas cholérique)
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Allégorie parabolique des imbéciles qui nous gouvernent et nous offrent leur tambouille pitoyable et dégueulasse !
Un petit texte gentillet pour amuser et faire passer le temps !
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
J'aime les liesses électives
Les soirs de victoires votives
La joie collective
Des fois sélectives
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Mon pied dans l'cul
J'aime les alcools qui trinquent
Dans des lieux de bringues
L’entrechoc des verres
Le nez rouge des mémères
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Ça fait plaisir à voir
Ces tronches hilares
Ces bonheurs simples
Ces cris du coeur
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Surtout si à coté
Sur le bas côté
On a des tristounets
Tout mélenchounets
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Mon pied dans l'cul
J'aime autant la joie que la tristesse
Tout me ravit dans la détresse
Tout me séduit dans l'allégresse
Ça me donne envie de fesses
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Bien à l’écart, des beaux quartiers Bien à l'étroit dans son costard rayé
Et de leur symbolisme altier, Avec sur la tête un sablier
On perçoit, à travers la brume On croit voir une plume qui lui pousse
Une sombre vie, qui se consume. Qui sort de son trou à mousse
Elle est celle, d’un pauvre diable Pauvre diable en bien piteux état
Traînant sa silhouette misérable, Tournant comme une girouette folle
Revêtue de poussiéreux haillons, Soulevant poussières et crachats
Portant d’ineffaçables horions. Portant son cartable à l'épaule
Il passe devant une mairie Il se présente à la mairie
Regarde le fronton, et puis rit Espoir de se voir élire
La belle devise de la France La France à besoin de son délire
A pour lui, une odeur bien rance. De ses odeurs fragrances pourries
Dans l’abîme, de son exclusion Dans la cabine à érections
Il a perdu toute illusion. Il vote pour lui le con !
Destinée remplie, de ratures Mais il à fait tout plein de ratures
Un fantôme, que la faim torture. Sur le bulletin de forfaiture
Pour les guignols technocratiques Les guignols zygomatiques
Il n’est juste qu’une, statistique Ont ramassé un tas de tiques
Un chiffre classé dans un dossier Auraient dû se laver les pieds
Et qu’ils ont aussitôt fait, d’oublier. Auraient senti moins mauvais
Quand il poussera son dernier râle, Quand on fera pousser les crânes
Dans l’indifférence générale, A la différence des bananes
Loin de l'égoïsme de ce monde, Pas de besoin d'une égoïne
Son âme ira seule, jusqu’à sa tombe. Pour que seules ils tombent
Signé : Mister X et Yfig
La République fornique rue du Cirque !
Chers citoyennes chers citoyens
Amis des reines ou plébéiens
Syndicalistes entrepreneurs
Unijambistes enlumineurs
À toutes les femmes ainsi qu’aux hommes
Je dis mesdames et gentilshommes
Fermez les yeux et restez cois
Cela ne nous regarde pas
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
La République est bonne fille
Quand elle fornique à la Bastille
Rue du cirque ou sous la charmille
Où qu’elle astique les jeunes filles
Faut montrer aux bons citoyens
Que notre roi n’est pas un saint
Qu’il est comme eux qu’il a une queue
N’en déplaise aux acrimonieux
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
Sur mon scooter je roule à fond
Je passe au vert comme un frelon
Et je fends l’air comme un ballon
N’en déplaise aux caméléons
C’est des histoires pas politiques
Des excursions pornographiques
Libertinages libidineux
Dévergondages un peu scabreux
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
Le populo c’est bien connu
Ç’sont des ballots qui pensent qu’au cul
Alors bien sûr pour le zizi
Il compte sur’les paparazzis
Hop ! Circulez y’a rien à voir
Hop ! Éteignez faites nuit noire
Hop ! Hop ! Couchez fini la foire
Allez ronfler dans le dortoir
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
(chanson enfantine)
Ah joyeuse fiesta
La basse-cour en folie
Bruyant chambardement
En tenues de gala
Les cocotes jolies
Caquètent follement
Vive le festival
De tous les animals
Des dindons des pigeons
Des jaguars des chapons
Des chevals des dragons
Des ovins des cochons
Tout le monde veut sa part
De marrons de pognons
De délicieux achards
De maïs de jambons
Et c’est un agneau blanc
Qui leur ouvre le ban
Une vache un peu rosse
Amoureuse de la bosse
D’un chameau ordinaire
Qui n’a pas fait la guerre
Se rince le dentier
Dans un grand bénitier
Ah ! Joyeuse nouba
Donne-moi du nougat
La basse-cour en délire
C’est la fête et les rires
On danse la salsa
On chante la la la la
Tapage cacophonie
Fracs de cérémonie
Les cocotes jolies
Picotent des piments
Et des fleurs d’ancolie
Caquetant follement
Un canard fait le paon
Sourit de toutes ses dents
Pour convaincre sa belle
De lui ouvrir ses ailes
Pour se faire féconder
Pour lui faire des bébés
Un énorme frelon
Le vilain fanfaron
Fait vibrer ses bacchantes
Une oie très arrogante
Porte une camisole
Tissée au Capitole
Une poule sur un mur
Ecoute les murmures
Les yeux écarquillés
D’un coq fort excité
Qui lui parle d’amour
Avec des mots glamours
Ah ! Joyeux tintamarre
Le requin dans la mare
La basse-cour ne désire
Que la fête et des rires
On mange du nougat
On chante la la la la
Yfig (17.11.2010)
Attendrons-nous d'être morts pour fermer les centrales ?
J'ai écrit ce poème en 2009 et je l'ai monté en clip le 12 février 2011.
Dans une ambiance de fin du monde, vivez les premiers la fin de l'humanité et ce qui nous attend après ...
J'attends vos propositions ....
bonus pour les fidèles de mon blog !
Tiens tes promesses, Nicolas, ouvre l'Elysée aux SDF pour Noël et prête leur Carla pour les réchauffer !
Si Rachida Dati voulait bien leur faire une petite inflation .......
Tu crois vraiment qu’t’es seul sur terre
Qu’il n’y a que toi dans la misère
Au lieu de pleurer sur ton sort
Tu ferais mieux de voir ailleurs
Sais-tu ce qui s’ passe au Népal
Se qui se trame au Sénégal
Tu rêves de vivre aux USA
Si tu savais s’qui s’passe là bas
Dans ta banlieue tu désespères
Tu dis qu’tu vis dans la galère
Mais que fais-tu pour t’en sortir
Sauf te comporter en martyr
A part la drogue tu sais quoi faire
Dans ta banlieue c’est quoi – l’enfer
Et en parlant de religions
Tes exigences sont légions
Manger que du veau baptisé
Que des vaches ayant communié
Du mouton qui pue pas des pieds
Des volailles qu’on n’a pas violées
C’est pas comme ça qu’t’y arrivera
Tu ferais mieux de prendre exemple
Sur ceux qu’ont des finances amples
Et qu’on ne traite pas de cailleras
Y nous cassent pas les roubignoles
Y font pas cramer les bagnoles
Les banquiers s’amusent de milliards
Les cons d’ pêcheurs bouffent des homards
Les agriculteurs de Bruxelles
Touchent des radis ramassent du blé
N’ont pas besoin d’faire la vaisselle
Les cuisiniers taxe diminuée
T’as pas compris pov’ouistiti
L’argent suffit pas d’ le gagner
Faut s’lever tôt pour l’ ramasser
Les subventions service compris
La prochaine fois tu t’souviendras
Cramer une tire rend bien service
A ceux qui les vendent et sévissent
Trafiquent à donf se font du gras
En 2012 tu voteras
Pour Yfig si tu veux qu’ça change
Y a que ceux qui baissent les bras
Qui se complaisent dans la fange
Prière au grand gaga
Je n’vais pas à la messe
Encore moins à confesse
J’aime pas les pince-fesses
Même chez la duchesse
Si je rencontrais dieu
Je lui dirais un peu
Ce que je pense de lui
Et de ses incuries
Je lui dirais tout ça
Juste entre quatre’s’yeux
Même si je ne suis pas
De la famille des dieux
Dis donc l’ami divin
Est-ce de boire trop de vin
Que tu n’as plus les yeux
Qui transperce les cieux
Tu reposes avachi
Dans ton vieux canapé
Sirotant ton whisky
Avec avidité
Tu refuses de voir
Des hommes les désespoirs
Tu préfères te complaire
Dans l’alcool de ton verre
T’es fin saoul vieux débris
D’éthanol ton esprit
Est rempli à plein bord
Puant comme un rat mort
Pendant que tu soupires
En relâchant des pets
Qui s’évaporent en spires
Et remugles suspects
La planète s’étiole
Et la faune et la flore
Et les hommes se meurent
Pendant que tu rigoles
Ta beuv’rie de vinasses
Secouant ta carcasse
De rires infâmes et crasses
Te rendent dégueulasse
Paraîtrait que ton nom
Varie dans la saison
En hiver Jéhovah
Puis à l’automne Allah
Une année Jésus-Christ
Et une autre Bouddha
Espères-tu que l’on prie
Un alcoolique fada
Qui passe ton son temps
A se conduire en fol
A jouer les idoles
Pour faire chier les gens
La haut sur ton nuage
Tu titubes tout en nage
Et bientôt tu dégueules
On en prend plein la gueule
T’es pas sérieux vieille chose
Faudrait que tu te calmes
Et que tu te reposes
Sous une feuille de palme
Que tu fasses une diète
Qu’en forme tu te remettes
Ou que tu passes la main
Car vois-tu les humains
En ont ras la casquette
De tes fantasmes infects
De tes frasques grotesques
Abracadabrantesques
Ton haleine de chacal
Pollue notre planète
Tes prélats girouettes
Au prêche radical
Attisent les colères
Qui entraînent les guerres
Incapables d’amour
Et privés de secours
Les peuples se déchirent
Se faisant abrutir
Par des prières débiles
Aux humeurs atrabiles
Alors mon vieux gaga
Dis à tes cancrelats
De nous lâcher le froc
De rendre leurs breloques
Et d’aller à la pêche
Ou à la chasse au phoque
De se foutre leur pébroc
Dans le fond de la crêche