REVOLUTION
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La télé est-elle la réalité ?
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Chanson TRÈS colérique (mais pas cholérique)
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La télé est-elle la réalité ?
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Chanson TRÈS colérique (mais pas cholérique)
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Allégorie parabolique des imbéciles qui nous gouvernent et nous offrent leur tambouille pitoyable et dégueulasse !
Un petit texte gentillet pour amuser et faire passer le temps !
Depardieu et les aveugles
Yfig
Cast List: DEPARDIEU 32 TÉLÉPHONE 11 CAISSIÈRE 9 AVEUGLE3 4 AVEUGLE1 AVEUGLE2 3 AVEUGLE1 3 AVEUGLE2 3 SILOUHETTE 1
1 INT. APPART DEPARDIEU Gérard D. est dans son fauteuil à moitié dans les vaps, la télé est allumée mais le son est très bas, il se cure le nez et se gratte le bide. dehors il fait beau et G. est décoiffé, habillé dans une robe de chambre avec des chaussons à ses pieds nus. Le téléphone, sur le petit meuble à côté du canapé, sonne ...... Gérard décroche 1 DEPARDIEU Allô ! ? 2 TÉLÉPHONE Monsieur Depardieu ? 3 DEPARDIEU Oui 4 TÉLÉPHONE bonjour M. Depardieu 5 DEPARDIEU Ouais, vous êtes qui ? 6 TÉLÉPHONE Je suis le directeur de l’association AAV (Aides Aux Aveugles) je voudrais ... 7 DEPARDIEU Faites chier, j’ai rien à vous donner ... 8 TÉLÉPHONE Avec tout ce que vous gagnez ? 9 DEPARDIEU C’est pas ton problème ! 10 TÉLÉPHONE Monsieur Depardieu, vous pourriez faire un effort, un petit chèque ne vous ruinerait pas ! penser à toutes celles et ceux qui n’ont pas la chance de voir comme vous ! 11 DEPARDIEU Et toi ? Tu m’as bien regardé ? Il raccroche au nez de son correspondant en rouinant comme un blaireau .....
2. FONDU NOIR FONDU SUR SILOUHETTE 2 EFFET SPÉCIAL. SILOUHETTE SANS VISAGE La silouhette apparaît dans le fondu .... on devine la bouche qui parle ... 12 SILOUHETTE Je suis la conscience universelle des hommes, il suffirait de si peu pour que les hommmes changent ... dans le bon sens ! Si seulement ..... si ! 3 INT. APPART DEPARDIEU Gérard D. est maintenant recoiffé, habillé léger, il s’apprête à sortir ... Il ouvre la porte et sort .... FONDU CHANGEMENT DE PLAN 4 INT. LE COULOIR DEVANT LA PORTE Gérard referme la porte au moment ou la porte de son vis à vis s’ouvre, un aveugle avec une canne blanche et des lunettes noires en sort ... il se dirige vers l’ascenseur comme Gérard ... il lui rentre dedans et s’excuse ... 13 AVEUGLE1 Oh Pardon, je ne vous avais pas vu ! 14 DEPARDIEU Forcément, si vous ne regardez pas où vous allez .... 15 AVEUGLE1 Oui, mais j’ai une excuse .. 16 DEPARDIEU Ah Ouais ! et laquelle ? 17 AVEUGLE1 Vous ne voyez pas que je suis aveugle ? Ils rentrent dans l’ascenseur, la porte se referme sur eux.
3. 5 EXT. LA RUE DEVANT L’ENTRÉE DE L’IMMEUBLE Gérard et l’aveugle sortent en même temps (Gérard devant) ... il se tamponne à l’aveugle 2 qui passait à ce moment là ... 18 AVEUGLE2 Oh pardon ! je n’vous avais pas vu arriver ! 19 DEPARDIEU Si vous regardiez où vous allez ça n’arriverait pas ! 20 AVEUGLE2 Peut-être, mais j’ai une excuse 21 DEPARDIEU Vous allez me dire que vous êtes aveugle ... 22 AVEUGLE2 Ben oui ... ça ne se voit pas, peut-être ? 23 DEPARDIEU Je devrais le voir à quoi ? AVEUGLE1 AVEUGLE2 Nous avons une canne blanche ! 24 DEPARDIEU (Il est surpris que le premier aveugle parle en même temps que le second) Vous vous voyez ? AVEUGLE1 AVEUGLE2 Bien sûr que non, mais on n’est pas sourd ! 25 DEPARDIEU Faut voir AVEUGLE1 AVEUGLE2 C’est tout vu ils partent bras dessus bras dessous ... laissant Gérard comme un con !
4. 6 EXT. DEVANT L’ENTRÉE DE LHYPER MARCHÉ "OEIL DE TIGRE" Tout plein d’aveugles avec leurs cannes blanches divaguent, se cognent ... s’excusent, se serrent la main, se font des bras d’honneur .... devant Gérard complètement éberlué par ce spectacle incroyable ..... 7 INT. L’HYPER MARCHÉ Puis il rentre dans l’hyper marché où des aveugles font leurs courses avec des caddies en se tamponnant dans un vacarme incroyable, mais toujours avec courtoise ..... Gérard, lui, prend un panier et va être obligé de faire un gymkhana au milieu de tous ces chariots fous ... il met quelques trucs dans son panier et finit par se faire tamponner par un aveugle ... 26 AVEUGLE3 Oh ! pardon, je ne vous avais pas vu ! 27 DEPARDIEU Pas de problème, ça peut arriver à tout le monde ... 28 AVEUGLE3 C’est vrai, mais ça n’arriverait pas si on avait des chiens pour nous guider .... 29 DEPARDIEU Et pourquoi vous n’en n’avez pas ? 30 AVEUGLE3 C’te bonne blague !!! Vous savez combien ça coûte, un chien d’aveugle ? 31 DEPARDIEU Ben non .... 32 AVEUGLE3 Allez ... au revoir .... si on peut dire .... Gérard va continuer ses courses ... se faire tamponner et recevra des coups de cannes blanches ... et entendre toujours la même excuse " Oh pardon, je vous avais pas vu ... ! " Enfin, il a fini ses courses et arrive aux caisses qui sont tenues par des aveugles .... On voit une rangée d’une
5. vingtaine de caisses toutes sans caissière. Il n’y a que deux caissières ... une avec une file très longues de clients qui font la queue ..... et une seconde vide où il est marqué "dix articles maximum" 8 INT. L’HYPER MARCHÉ : LA CAISSE Depardieu a pris la caisse rapide avec moins de dix articles .... il pose ses courses sur le tapis mais rien ne se passe, la caissière ne moufte pas, elle reste les bras croisé .... Gérard attends un peu, regarde à droite, à gauche, visiblement embarrassé puis il tousse, de plus en plus fort .... et finit par s’adresser à la caissière 33 DEPARDIEU C’est quand vous voulez, mademoiselle ... 34 CAISSIÈRE Bonjour Monsieur, excusez-moi, je n’vous avais pas vu. Vous avez mis vos courses sur le tapis ? 35 DEPARDIEU Oui oui, j’ai tout mis ... 36 CAISSIÈRE Je vais voir ce que je peux faire ... Elle tâte les objets, les fait passer maladroitement devant l’oeil infra rouge ... ça prend du temps ... 37 CAISSIÈRE AH ! je vois que vous avez onze objets, ici, c’est la caisse dix objets, faut que vous alliez à la caisse d’à côté ! 38 DEPARDIEU Euh !! pour un objet, vous pouvez peut-être faire une exception ? 39 CAISSIÈRE Vous imaginez si on commençait à faire des passe droits ... où irions-nous ? 40 DEPARDIEU Soyez sympa !
6. 41 CAISSIÈRE On aura tout vu ! Vous n’êtes tout de même pas en train de me draguer ? 42 DEPARDIEU Mais pas du tout, j’essaie seulement de vous faire changer d’avis .. 43 CAISSIÈRE Vous m’avez bien regardée, ai-je l’air de quelqu’une qui change d’avis comme d’amant ? 44 DEPARDIEU Et si je renonce à un article ? 45 CAISSIÈRE Alors là, ça change tout ... je vais vous encaisser ! 46 DEPARDIEU Vous voyez, avec un peu de bonne volonté ... 47 CAISSIÈRE Non, je ne vois rien du tout, vous ne voyez pas que je suis aveugle ? 48 DEPARDIEU Excusez-moi, ma pensée a dépassé mon point d’vue ... 49 CAISSIÈRE Voilà, ça fait cinquante six euros vingt cinq. il paie et sort 9 INT. APPART DEPARDIEU Il est assis dans son canapé, il compose un numéro sur le téléphone 50 DEPARDIEU Allô, l’AAV ? 51 TÉLÉPHONE Oui, bonjour M. Depardieu.
7. 52 DEPARDIEU Vous m’avez reconnu ! ? 53 TÉLÉPHONE C’est un don d’aveugle, une ouïe fine ! 54 DEPARDIEU A propos de don ... je voudrais vous en faire un, je vous envoie un chèque de quatre millions d’euros ... ça vous aidera ? 55 TÉLÉPHONE Bien sûr, M. Depardieu, cela va considérablement vous aider. 56 DEPARDIEU Mais dites-moi, qu’allez-vous faire de cet argent ? 57 TÉLÉPHONE Nous allons acheter des chiens pour les aveugles. 58 DEPARDIEU Ah ! très bien, je crois que cela va leur rendre bien service. 10 EXT. LA RUE DEVANT L’ENTRÉE DE L’IMMEUBLE G. Depardieu est sorti, on le voit sortir de l’ascenseur et sortir de l’immeuble ... il se retrouve sur le trottoir ... et là, il est complètement assommé .... des tas d’aveugles marchent sur le trottoir et dans la rue avec des chiens en laisse, mais ce sont n’importe quoi comme chiens, des labradors, des teckels, des bassets, des chihuahuas, des doberman .... les uns tirent leur petit chien, les autres sont entraînés par leur gros chien, ils se cognent les uns dans les autres, se mélangent les laisses forme un immense bordel et les voitures sont bloquées et klaxonnent et en plus, il y a plein de merdes de chiens partout !!!!! 11 INT. APPART DEPARDIEU Pancarte à l’écran : "six mois plus tard" Gérard est affalé dans son canapé, comme dans la première scène. Le téléphone sonne, il décroche
8. 59 TÉLÉPHONE Allô, M. Depardieu 60 DEPARDIEU Ah non ! pas vous ! 61 TÉLÉPHONE On voulait vous demander ... 62 DEPARDIEU Allez vous faire voir ! Il raccroche méchamment. 63 DEPARDIEU Je me suis fait avoir une fois, ils ne m’auront pas deux ! FIN
C'est parti mon kiki
Non …. Je ne vais pas vous apprendre à faire des pâtés de foie gras de Zanzibar ou des rillettes de Montélimar … je veux seulement vous entretenir de mes divagations scribouillardes.
Oh ! Je n’ai guère de notoriété à poser en guise de ridelles autour de ma personne pour vous convaincre de mon habilitation à vous entretenir de littérature.
Je n’ai aucun « best seller » à opposer à vos réticences à faire preuve de bonne volonté à mon égard.
Et je n’ai même pas de kalachnikov à vous mettre sous le nez pour vous forcer à m’écouter !
Rien, je n’ai rien que quelques mots d’intro qui, espérons, vous donnerons envie de faire un petit bout de chemin en ma singulière compagnie.
De quoi t’est-ce exactement que je veux vous causer ?
D’écriture.
Pas de styles …. Encore que … Pas de genre … même si … Pas de règles … ou à l’insu de mon plein gré …
Non, je veux vous entretenir de la façon dont l’usage de l’écriture peut amener à penser l’écriture différemment.
Au début était le verbe … Ouais …. Bon …. C’est pas original mais ce n’est pas moi qui ai inventé cette faribole !
Au début que j’écrivais … car il a bien fallu un début … je ne savais pas trop quoi écrire ni comment.
Pourquoi ?
Mais diantre, fichtre ! Parce qu’on peut écrire de tant de différentes façons !
Un article de style journalistique.
Un cours théorique sur la conchyliculture du bigorneau aux yeux bleux.
Un conte de fée humoristique ou lubrique.
Un sketch pour amuser le bourgeois qui s’emmerde devant sa téloche.
Une chronique des temps moderne dont la modernité n’a rien à envier au Moyen-âge qui était en avance sur son temps dans bien des domaines.
Un roman … d’aventures, d’amour, d’espionnage, policier …
Une pièce de théâtre, une comédie de boulevard, une tragédie, un burlesque …
Un scénario de cinéma ou une série télé ou de Bande Dessinées …
Vous rendez-vous compte de l’éventail infini de possibilités qui s’étalaient provocantes à mes yeux innocents ?
En fait, si je me souviens bien, j’ai écrit une nouvelle.
La nouvelle, c’est pas mal pour débuter. C’est court et on peut n’y mettre qu’un nombre limité de personnages. Ma nouvelle, je l’ai intitulée : « le choix du père ». C’est bien comme titre parce que ça n’a pas de sens unique. Le choix … quel choix ?
Faut pas croire, écrire une nouvelle de 25 pages, ça peut paraître facile mais ça ne l’est pas !
On se lance dans une grande aventure en se demandant si on y arrivera … on tombe sur des tas de pièges inattendus.
Par exemple, pour faciliter l’écriture, j’avais choisi de baser ma nouvelle sur une aventure qui m’était réellement arrivée … genre biographie épisodique. Mais on se pose rapidement la question de savoir ce qu’on peut dire et ce qu’il faut garder pour soi parce qu’on sera peut-être lu par des inconnus, des amis, voire la famille …
En fait … personne … ou presque ne vous lit … mais ça, on ne le sait pas au début !
Ensuite, j’ai écrit quelques mirliton … souvent, c’était des réponses rimées à des vacheries reçues sur internet …
Puis j’ai décidé de me lancer dans un roman. Ne le cherchez pas en librairie il n’a pas été édité. Son titre : « Ludmilla » … encore un titre suffisamment évasif pour que personne n’ai envie de le lire.
Un premier roman, ce n’est pas une aventure, c’est une gageure, un travail herculéen à réaliser par un nain. On ne devrait jamais se lancer dans pareille mésaventure sans prendre une bonne assurance anti-risquetout !
Je vous passe les affres de la technique liée à l’orthographe et la grammaire … les phrases qu’on pense mais qu’on ne sait pas écrire … les mots qu’on ne trouve plus … les mots qu’on met par défaut ….
Le pire est à venir …
Le pire, c’est qu’à la quatrième ou cinquième page on a l’impression d’avoir tout dit !
Alors …. On s’arrête et on se dit : « demain ça ira mieux ! »
Mais le lendemain rien ne se passe … ni le surlendemain …. Ni les jours suivants … et on finit par oublier qu’on avait fait un grand projet.
AH ! il en faut de l’ambition et de la niaque pour se remettre à l’ouvrage, surtout si on est tout bloqué !
Moi, mon truc, ça a été d’écrire des petits trucs pour me débloquer, des chroniques, une saynète, une fausse interview , de petits sketches … et tout doucement, ça s’est débloqué …
Mais ça ne veut pas dire que c’est gagné … loin de là … car l’imagination, voyez-vous, ça marche bien dans la tête, mais quand il s’agit de le transcrire sur le papier …. C’est une autre histoire !
Bon, bref …
Après, je me suis mis à l’écriture de ma première pièce de théâtre : « un raout chez les ploutocrates ».
Comme j’avais un peu d’argent mis de côté (c’est si rare) … je l’ai faite imprimer. On appelle ça « l’autoédition ».
Puis un polar dont j’avais jeté les bases quelques vingt ans auparavant et dont j’ai retrouvé les premières pages manuscrites car il n’y avait pas d’ordinateur à l’époque.
Je me suis essayé à écrire des chansons, puis de nouveau des chroniques et des petites choses tout en travaillant à une autre pièce puis à la transcription d’une pièce en scénario de cinéma.
Cessez de bailler, j’en suis arrivé à mon sujet.
À écrire ainsi, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il y a 3 genres qui se chevauchent.
Le plus évident, c’est le scénario de cinéma et la pièce de théâtre. En fait, on peut dire que c’est très semblable et que ça consiste en des dialogues.
Les cinéphages (femmes et hommes de cinéma) et les théâtreux tiennent absolument à ce que leurs disciplines restent bien dissociées et c’est dans la forme qu’ils imposent qu’ils tentent de forcer les uns et les autres à rester derrière d’infranchissables barrières virtuelles.
Voici un exemple d’écriture théâtrale :
Nous sommes au mois de juillet dans la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage. La salle (le magasin) est vide de monde. Musique douce d’ambiance. Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.
Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.
Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs …
Un couple de visiteurs vient à passer ..
Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !
Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !
Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !
Elle : J’aime assez celui-là ! (elle lit l’étiquette au bas du tableau) bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?
Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !
Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.
Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !
Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?
Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.
(Ils partent)
Examinons les contraintes textuelles liées à l’écriture d’une pièce de théâtre.
La première est la division en actes et en scènes. Bon ! Ça, ce n’est pas bien difficile à faire.
Pour le théâtre, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :
· Acte
· Entête (scène)
· Mise en scène (didascalies)
· Personnage
· Dialogue
· (Indication)
· Transition
· Texte
Il est à noter que l’outil Celtx fournit un certain nombre de fonctionnalités très utiles pour le metteur en scène ou le réalisateur.
Il permet de décrire avec une grande précision les personnages, leurs caractéristiques physiques et psychologiques, leur rôle en tant qu’antagoniste, protagoniste, faire-valoir, figurant … etc …
Il permet de gérer les accessoires et les plans de tournages avec l’emplacement de la ou des caméras et de tous les décors ainsi que les autorisations de tournage à demander aux mairies ou préfectures ….
Il permet de gérer les plannings de tournage …
Il construit, à partir du scénario, des rapports précieux sur les scènes successives incluant les personnages et leur charge de dialogues … et plein d’autres choses encore qui sont presque totalement inutiles à l’auteur.
Et un exemple de script (scénario de cinéma) :
1 INT/EXT LE PATIO ARBORÉ DE LA GALERIE DES MAURICE
Nous sommes au mois de juillet dans le patio planté de la
galerie "Maurice Maurice" où se déroule une exposition- vernissage.
Le patio est vide de monde. Musique douce d’ambiance Lumière feutrée avec des spots sur les tableaux.
Une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues sur des présentoirs
Un couple de visiteurs vient à passer ..
1 LUI
Dis donc, y’a pas grand monde !
2 ELLE
Y’a une ambiance à tirer au couteau
!
3 LUI
Remarque .... C’est franchement pas
terrible !
4 ELLE
J’aime assez celui-là ! (elle lit
l’étiquette au bas du tableau)
bateau échoué sur la vase dans le
port de Honfleur avant 1990. C’est
où Honfleur ? et ... Que s’est-il
passé en 90 ?
5 LUI
C’est juste un bateau, il n’y a pas
âme qui vive dans ce tableau ....
Comme dans cette galerie,
d’ailleurs !
6 ELLE
Oui, mais les couleurs sont
apaisantes et je préfère un bateau
échoué qu’en pleine tempête, je
n’ai pas le pied marin.
7 LUI
C’est tellement apaisant que ça
donne envie de dormir !
8 ELLE
Tu ne serais pas un peu de mauvaise
foi ?
9 LUI
Viens ! Partons d’ici c’est trop
morose.
Ils partent
Pour le cinéma, l’outil américain Celtx nous donne les clefs suivantes :
· Entête (scène)
· Action (didascalies)
· Personnage
· Dialogue
· (Indication)
· Transition
· Valeur de plan
· Texte
Dans l’écriture des scripts, il n’y a ni actes ni scènes mais des entêtes qui définissent le plan de tournage et commence principalement par la définition « intérieur ou extérieur jour ou nuit ».
Comme tout un chacun peut le constater, seule la forme diffère … l’histoire (à travers les didascalies) et les personnages sont identiques.
Du coup, vous le sentez bien, si je propose un texte sous forme théâtre pour un film, le CNC qui finance des centaines de millions par an (véridique) et qui EXIGE le format « script » me priera poliment mais fermement d’aller voir ailleurs si j’essuie.
À l’inverse, si je propose une pièce de théâtre au format « script » à un metteur en scène (subventionné par le ministère de la culture qui a une liste d’amis réservés), celui-ci me proposera d’aller me faire pendre ailleurs.
Que faire ?
Ben … en fait, je dirais que je m’en fous !
Pourquoi ?
Mais parce que de même que personne ne lit mes textes, personne ne s’intéresse à mes pièces ni à mes scripts … cela me rend plus indépendants et c’est pour ça que j’ai décidé d’économiser mes forces et de cesser de perdre mon temps à mettre mes textes sous des formes imposées par d’autres qui n’ont pas vraiment le souci du fonds mais plutôt celui de la forme, ce qui explique en partie la déconfiture généralisée et du théâtre et du cinéma (les films français sont tous déficitaires en recette !).
Et puisque j’ai décidé de ne plus répondre aux dictats absurdes, autant aller jusqu’au bout du raisonnement et faire d’une pierre non pas 2 mais 3 coups. C’est pour ça que désormais, j’écris des romans-ciné-théâtre … comme ça :
Par ce beau mois de juillet, dehors, la chaleur est étouffante et le soleil brûle tout ce que ses rayons percutent.
La température est plus supportable sous la charmille du patio arboré de la galerie ‘Maurice Maurice’ où se déroule une exposition - vernissage.
L’espace ombré est vide de monde. Une douce musique d’ambiance flotte langoureusement dans l’air comme un effluve vaporeux et nuageux. La lumière feutrée donne une note suave orangée et intime. Les spots vifs projetant leurs rais clairs sur les tableaux forment des îlots de clarté rayonnante parsemée.
Au centre du patio, une simple table sur tréteaux avec une nappe en papier blanche supporte des petits fours fatigués, une bouteille de soda et une bouteille de mousseux de mauvaise qualité avec des gobelets en plastique.
Des tableaux abstraits et figuratifs sont cimaisés sur des châssis amovibles, quelques statues de stuc reposent nonchalants sur des présentoirs …
Malgré l’impression apaisante des lieux, il y plane comme une menace éthérée et dramatique.
Un couple de visiteurs vient à passer … Ils sont jeunes et branchés, ils sont entrés là par le plus grand des hasards après avoir lu la pancarte à l’entrée de la galerie exhortant les passants à venir se rafraîchir à l’abri du soleil et à se rincer l’œil avec les tableaux et sculptures. Ils sont en short et tong, très décontractés et très bronzés. Elle, blonde et lui brun ils ont des visages communs, sans particularité exceptionnelle.
Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !
Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !
Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !
Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?
Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.
Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !
Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.
Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !
Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?
Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.
Ensuite et pour satisfaire à la notion de numérotation des dialogues des scripts pour le cinéma, je reprends les dialogue et je leur donne un ordre chronologique :
Comme ça :
1. Lui : Dis donc, y’a pas grand monde !
2. Elle : Y’a une ambiance à tirer au couteau !
3. Lui : Remarque …. C’est franchement pas terrible !
4. Elle : J’aime assez celui-là ! elle lit l’étiquette au bas du tableau bateau échoué sur la vase dans le port de Honfleur avant 1990. Ça l’interpelle et la questionne, elle se tourne vers son compagnon dans l’espoir qu’il lui procure quelques renseignements … C’est où Honfleur ? et … Que s’est-il passé en 90 ?
Il n’en sait rien le pauvre, comment pourrait-il savoir ? Il ne prend même pas la peine de s’excuser et s’esquive.
5. Lui : C’est juste un bateau, il n’y a pas âme qui vive dans ce tableau …. Comme dans cette galerie, d’ailleurs !
6. Elle : Oui, mais les couleurs sont apaisantes et je préfère un bateau échoué qu’en pleine tempête, je n’ai pas le pied marin.
7. Lui : C’est tellement apaisant que ça donne envie de dormir !
8. Elle : Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?
9. Lui : Viens ! Partons d’ici c’est trop morose.
D’autre part, avec le jeu des couleurs de texte, je réponds à la condition qui stipule que l’on doit séparer clairement les dialogues des didascalies.
Elle est pas belle, la vie ?
L'auto édition est aujourd'hui à la portée de toutes et tous.
Est-ce que cette pratique débouche sur une reconnaissance quelconque ?
Certains prétendent que oui .. sans en donner de preuves formelles. Ils pensent sans doute que prétendre à des milliers de ventes leur fera de la pub … ceux qui pratiquent l’auto édition se marrent de tant de naïveté !
Les ventes sont rares (et appréciées).
Le travail les efforts et la patience indispensables à l'auto édition ne sont pas vraiment récompensés.
Il faut écrire. Relire et corriger. Puis il faut passer du temps, souvent beaucoup trop de temps, à l'enregistrement du bouquin sur internet avec ses pièges, ses errements et les bugs du producteur (puisque l'éditeur, c'est vous).
Puis, il faut suivre ses enfants car personne ne le fera à votre place. Revenir cent fois sur le métier car le producteur change son interface sans crier gare ou bien vous égare sur quelque voie désaffectée sans rime ni raison ...
Et enfin, il faut faire sa promo ... et là ... forcément, on tombe sur les imbéciles qui vous traitent de nombriliste, de prétentieux, de crétin qui se prend pour un écrivain ... etc ... les noms d'oiseaux ne manquent pas ... et tout ça par des personnes qui ne vous connaissent ni d'Ève ni de brosse à dent et qui ne vous ont jamais lu et ne vous liront jamais ... bref ...
Si vous vous auto éditez ... commencez par vous blinder contre l'ironie, les sarcasmes et la mauvaise foi !
Qui prendra le risque d’acheter sur internet l’ouvrage d’un auteur inconnu ? Sauf, bien entendu la famille ou des amis proches ou pas … (mais soit ils déclinent, soit ils achètent pour être tranquille sans lire).
Pour vendre, il faudrait investir, passer des annonces à la radio à des tarifs prohibitifs, donner de gros bakchichs à des présentatrices présentateurs vedettes de la télé … Dans le meilleur des cas, vous êtes potes avec l'amant de la présentatrice ou le giton du présentateur ... et là, comme dit l'autre, c'est le coup de piston via les roustons ...
Mais alors .... Pourquoi s'auto éditer si ça ne débouche pas sur la gloire ?
Je n’y vois, personnellement qu’une seule et unique raison : prendre date et protéger gratuitement vos textes, même s’ils ne valent rien … une bonne idée, de nos jours, ça se fait de plus en plus rare et certains finiront par faire les poubelles pour en trouver …
Pour le reste … ça relève du fantasme et des rêves.
GOOGLE PLAY : tous mes bouquins
J’aime bien les documentaires animaliers, ils sont toujours pleins d’enseignements.
Tenez, les poissons chats, par exemple, ces hideux animaux qui vivent aux fonds des eaux opaques et se nourrissent de vermines, de cadavres en décomposition laissés par les crocodiles délicats qui ne consomment pas la chair trop putride.
Ces poissons là vivent et se développent sans trop de désagréments tant que les eaux sont hautes à la saison des pluies.
Ils parcourent les fonds, leur bouche suceuse fouissant la vase, les moustaches en bataille, tactiles et graciles, détectant à tâtons les mets qu’ils affectionnent.
Ils grossissent, font de la graisse et fraient puis pondent dans la vase qui bientôt redeviendra terre sèche et craquelée.
Les œufs résisteront jusqu’aux prochaines pluies.
Mais en attendant, voilà nos poissons chats, poussés par la sécheresse et le tarissement, entassés pêle-mêle dans un trou d’eau qui s’évapore un peu plus chaque jour.
Si on voulait faire un bon mot, on dirait qu’ils s’entassent comme des sardines.
Mais pour eux ce n’est pas drôle.
Frétillants comme des brèles pour se faire de la place ils deviennent des proies faciles pour tous les prédateurs qui s’en repaissent.
Les crocodiles et les horribles marabouts (d’ficelle) les dévorent sans cérémonies et quand ils sont repus et qu’il n’y a plus d’eau, les poissons desséchés forment une masse noire qui nourrira la terre en azote et minéraux.
C’est pas marrant la vie du poisson chat.
Être entassés, les uns par-dessus les autres, sans échappatoires, sans autre lieu où aller et se retrouver à la merci des prédateurs sans pitié, voilà la vie affreuse des poissons chats hideux.
OOOOOOHHHH ne voyez là aucune métaphore illustrant un comportement quelconque humain … non, les hommes ne mangent pas de ce pain là ! Les hommes sont, certes cruels, mais jamais ils ne massacreraient leurs prochains entassés dans la nasse comme des sardines.
Pièces en 3 actes de 3 scènes chacun.
Durée 1h30
4 h
4 f
Voix off et fantôme
5 personnages simultanément sur scène.
Le héros de cette comédie burlesque est un fantôme qu’on ne voit presque pas mais que, singulièrement, on entend.
Ce fantôme erre dans les arcanes du château de hurle aux loups, semant une terreur effrayante parmi les visiteurs non avertis.
Refusant obstinément de porter son suaire (drap) il finit par s’enrhumer … ATCHOUM !
Le médecin appelé au chevet du fantôme renonce et prévient le curé qui vient pour l’extrême onction et l’exorcisme …
Ayant lamentablement échoué, ils préviendront, en désespoir de cause, la police qui délègue son plus fin limier sur les lieux : l’inspecteur chef DVDP (David Van den Prout).
Toutes ces âmes bien intentionnées contrecarrent en fait les projets d’un gîte hanté de la duchesse veuve et propriétaire du château.
Rassurez-vous … tout finit bien ! Et les rires sont garantis du début jusqu’à la fin !
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
J'aime les liesses électives
Les soirs de victoires votives
La joie collective
Des fois sélectives
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Mon pied dans l'cul
J'aime les alcools qui trinquent
Dans des lieux de bringues
L’entrechoc des verres
Le nez rouge des mémères
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Ça fait plaisir à voir
Ces tronches hilares
Ces bonheurs simples
Ces cris du coeur
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Surtout si à coté
Sur le bas côté
On a des tristounets
Tout mélenchounets
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Mon pied dans l'cul
J'aime autant la joie que la tristesse
Tout me ravit dans la détresse
Tout me séduit dans l'allégresse
Ça me donne envie de fesses
On a gagné
Les doigts dans l'nez
Ils ont perdu
Le nez dans l'cul
Les roms sont des roumains, à ce titre, ils méritent d'être respectés surtout qu'ils font partie de l'U.E.
Les roms parcourent nos routes depuis des millénaires ... les romains même les croisaient pendant les croisades (ben quoi ?)
Les roms sont des êtres humains. Que celles qui en doute aillent passer une nuit dans leurs bras.
Les roms mangent nos enfants ... bon, ils ne vont tout de même pas se laisser crever de faim pour nous faire plaisir !
Les roms font les poches des touristes étrangers dans le métro et le RER ... et alors ! ? ce ne sont que des étrangers, ne soyons pas xénophobes !
Les roms, c'est bien connu, jouent du violon, de l'harmonica et de la crécelle de Sarcelles ... tant pis pour les sarcelliens !
Les roms font chier ... prenons-les en laxatif ... et positivons !
Les roms nous volent nos poules ... ouais ... ben faut avouer qu'elles aiment ça, les salopes !!!
Les roms ... les roms ... merde, putain ! y'a pas que les roms sur terre !!!!! :)
Vous avez trop chaud aux roustons ?
mettez une jupe et un jupon !!!
Envie de ressembler à maman, à grand-mère ?
Vite, mettez une jupette pour cacher vos roupettes !
Et surtout n'oubliez pas ... même si vous avez l'air cons, le ridicule ne tue pas !!!
Par contre, pour c'qui est des gonzesses ... vous repasserez !!!
On n’est jamais si bon
Que dans l’indignation
Faut s’indigner de tout
S’indigner comme des fous
Des anti conformistes
Des anti communistes
Des anti pas racistes
Des anti si sionistes
Des anti sémitismes
Des anti trop podes
Des anti la mode
Des anti européens
Des anti balladuriens
Des anti lit baldaquin
Quand on s’indigne
On est si digne
Digne dingue dong !
Faut t’indigner mon pote
Si tu veux pas qu’on t’note
Qu’on t’case dans un casier
Judiciaire dévirginisé
Allez ! tous à la fois
On s’indigne dans la joie
Je m’indigne
Tu t’indignes
S’indigner c’est si bon
C’est comme dans le jambon
C’est tout bon tout bonbon
On s’indigne
On est digne
Digne dingue dong !
Gnia gnia
Comment ça va
bien ! ?
J'en suis si aise
Et toi Blaise, ça baise ?
Petit monde gentil
Peuplé de gentilles gentils
Tout le monde est si gentil
gnia gnia
OH ! comme c'est beau
Et j'aime quand c'est bio
gnia gnia
ça va ça va
et vous êtes si jolies
si jolis
et gentis
groin groin
frotte frotte
glote glotte
tout le monde se félicite
Félicie aussi
gnia gnia
La poésie
C'est gentil
gnia gnia
c'est pas bien compliqué
faut juste être poli
faut faire ami ami
faut se dire des papouilles
s'envoyer des pattemouilles
des nou-nouilles
des gnias gnias
en veux-tu en voilà
c'est gentil
merci
La poésie c'est pas les méchants
Les vilains
gnia gnia
les goujats
les pas bons méchants
qui veulent dire
des choses méchantes
des choses pas gentilles
c'est pas gentil
gnia gnia
gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia
en veux-tu en voilà
C'est pas plus compliqué que ça
tu mets 3 mots gentils
et tout l'monde est joyeux
on est heureux
on est tous si gentils
gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia
Allez, j'arrête là
J'ai épuisé tous mes gnia gnia
Et puis j'en ai jusque là
des gnia gnia
des blablas
des stances insipides
des vers stupides
des rimes lipides
qui dégoulinent
comme des liquides
spermines
des substances séminales
traces subliminales
d'orgasmes synthétiques
de gnia gnia pathétiques
gnia gnia
gnia gnia
La cérémonie d’ouverture et les projections auront lieue dans le cinéma Henri Jeanson
Et le pot d’ouverture ainsi que la cérémonie de clôture dans les greniers à sel (Rue de la Ville) .
32 films ont été retenus sur 800 proposés. (Depardieu a été recalé)
3 prix seront remis lors de la clôture.
Le premier prix est doté d'une aide complète à la réalisation d'un moyen métrage ( matériel, lieux, décors, montage, post prod ...) d'une valeur d'environ 100.000 €.
Pour acheter un passe : (Office de Tourisme de Honfleur) http://www.ot-honfleur.fr/
Demandez le programme : http://www.honfleurtoutcourt.com/page/weekend
Bon week end à tous !