Quand satan s'invite à la table du diable ....
Un petit texte gentillet pour amuser et faire passer le temps !
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Un petit texte gentillet pour amuser et faire passer le temps !
La République fornique rue du Cirque !
Chers citoyennes chers citoyens
Amis des reines ou plébéiens
Syndicalistes entrepreneurs
Unijambistes enlumineurs
À toutes les femmes ainsi qu’aux hommes
Je dis mesdames et gentilshommes
Fermez les yeux et restez cois
Cela ne nous regarde pas
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
La République est bonne fille
Quand elle fornique à la Bastille
Rue du cirque ou sous la charmille
Où qu’elle astique les jeunes filles
Faut montrer aux bons citoyens
Que notre roi n’est pas un saint
Qu’il est comme eux qu’il a une queue
N’en déplaise aux acrimonieux
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
Sur mon scooter je roule à fond
Je passe au vert comme un frelon
Et je fends l’air comme un ballon
N’en déplaise aux caméléons
C’est des histoires pas politiques
Des excursions pornographiques
Libertinages libidineux
Dévergondages un peu scabreux
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
Le populo c’est bien connu
Ç’sont des ballots qui pensent qu’au cul
Alors bien sûr pour le zizi
Il compte sur’les paparazzis
Hop ! Circulez y’a rien à voir
Hop ! Éteignez faites nuit noire
Hop ! Hop ! Couchez fini la foire
Allez ronfler dans le dortoir
La vie privée de notre roi
Ça doit rester de bon aloi
Ne pas tomber dans le gaulois
Récupéré par les médias
Les richesses du charity business !
Ce soir, à la radio, une émission spéciale Johnny Cash ....
Si on en croit le commentateur, il aurait dit, à la fin de sa vie ....
"Je ne m'excuse plus, je n'ai pas à m'excusez car sans l'alcool et sans les drogues, jamais je ne serais devenu ce que je suis et qui se tient devant vous aujourd'hui !"
Je sais ce qu'il me reste à faire !!!!! AH AH AH !!!!!
Vous y croyez, vous, au génie ?
Signé : Yfig génie !
Attention mesdames .....
Attention messieurs .....
Et vous aussi ....
Si vous faites qu'à vous prélasser au soleil, à vivre de courants d'air et d'aromes de miel, voici ce qui risque de vous arriver :
vous retrouvez dans la coquille d'un bigorneau accroché à son rocher !
Prière au grand gaga
Je n’vais pas à la messe
Encore moins à confesse
J’aime pas les pince-fesses
Même chez la duchesse
Si je rencontrais dieu
Je lui dirais un peu
Ce que je pense de lui
Et de ses incuries
Je lui dirais tout ça
Juste entre quatre’s’yeux
Même si je ne suis pas
De la famille des dieux
Dis donc l’ami divin
Est-ce de boire trop de vin
Que tu n’as plus les yeux
Qui transperce les cieux
Tu reposes avachi
Dans ton vieux canapé
Sirotant ton whisky
Avec avidité
Tu refuses de voir
Des hommes les désespoirs
Tu préfères te complaire
Dans l’alcool de ton verre
T’es fin saoul vieux débris
D’éthanol ton esprit
Est rempli à plein bord
Puant comme un rat mort
Pendant que tu soupires
En relâchant des pets
Qui s’évaporent en spires
Et remugles suspects
La planète s’étiole
Et la faune et la flore
Et les hommes se meurent
Pendant que tu rigoles
Ta beuv’rie de vinasses
Secouant ta carcasse
De rires infâmes et crasses
Te rendent dégueulasse
Paraîtrait que ton nom
Varie dans la saison
En hiver Jéhovah
Puis à l’automne Allah
Une année Jésus-Christ
Et une autre Bouddha
Espères-tu que l’on prie
Un alcoolique fada
Qui passe ton son temps
A se conduire en fol
A jouer les idoles
Pour faire chier les gens
La haut sur ton nuage
Tu titubes tout en nage
Et bientôt tu dégueules
On en prend plein la gueule
T’es pas sérieux vieille chose
Faudrait que tu te calmes
Et que tu te reposes
Sous une feuille de palme
Que tu fasses une diète
Qu’en forme tu te remettes
Ou que tu passes la main
Car vois-tu les humains
En ont ras la casquette
De tes fantasmes infects
De tes frasques grotesques
Abracadabrantesques
Ton haleine de chacal
Pollue notre planète
Tes prélats girouettes
Au prêche radical
Attisent les colères
Qui entraînent les guerres
Incapables d’amour
Et privés de secours
Les peuples se déchirent
Se faisant abrutir
Par des prières débiles
Aux humeurs atrabiles
Alors mon vieux gaga
Dis à tes cancrelats
De nous lâcher le froc
De rendre leurs breloques
Et d’aller à la pêche
Ou à la chasse au phoque
De se foutre leur pébroc
Dans le fond de la crêche
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rentrez chez vous
Ou chez Reding
Allez partout
Plum-Plum-pouding
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Au Luxembourg
Pas à carrefour
Ou à Bruxelles
C'est sans appel
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
On veut plus d'vous
Ni de vos poux
On veut des sous
Pour nos ripoux
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Taillez la route
En caravane
Jusqu'à Beyrouth
Ou Amsterdam
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Dépêchez-vous
Ca craint pour vous
Y'a Sarkozy
Dans la chienlit
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Regardez-vous
N'êtes pas comme nous
De not' pays
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rentrez chez vous
On reste ici
C'est not'pays
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
En roumanie
Z'avez une chance
D'mieux vivre qu'en France
De Sarkozy
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Regardez-nous
On reste ici
On sue l’burnous
En Sarkozie
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Faites-nous plaisir
Et à messire
Dans vot' roulotte
Not'masselotte
Rom Rom Rom Rom
Rom Rom Rom Rom
Emmenez-le
Bien loin d'ici
Le cauteleux
Le Tsarkozy
Le poète
Coiffé d’un bitos black
Le cou ceint d’une écharpe
Rouge
Loden noir
Sombre futal
Des godasses en croco
Le grand poète
fier
s’avance
Faites-lui révérence
D’un geste large
Il rejette son écharpe
Par dessus son épaule
Puis triomphant
Une main gantée
Vers le ciel pointée
Il ouvre un large bec
Et déclame
«Ô toi mon adorée »
Tout est dit
La poésie
C’est comme ça aujourd’hui
Et mon cul
tout à fait
Du poulet