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  • C’est toujours mieux ailleurs ………. surtout si t’as du pognon ……

     

     

    Tu crois vraiment qu’t’es seul sur terre

    Qu’il n’y a que toi dans la misère

    Au lieu de pleurer sur ton sort

    Tu ferais mieux de voir ailleurs

     

    Sais-tu ce qui s’ passe au Népal

    Se qui se trame au Sénégal

    Tu rêves de vivre aux USA

    Si tu savais s’qui s’passe là bas

     

    Dans ta banlieue tu désespères

    Tu dis qu’tu vis dans la galère

    Mais que fais-tu pour t’en sortir

    Sauf te comporter en martyr

     

    A part la drogue tu sais quoi faire

    Dans ta banlieue c’est quoi – l’enfer

    Et en parlant de religions

    Tes exigences sont légions

     

    Manger que du veau baptisé

    Que des vaches ayant communié

    Du mouton qui pue pas des pieds

    Des volailles qu’on n’a pas violées

     

    C’est pas comme ça qu’t’y arrivera

    Tu ferais mieux de prendre exemple

    Sur ceux qu’ont des finances amples

    Et qu’on ne traite pas de cailleras

     

    Y nous cassent pas les roubignoles

    Y font pas cramer les bagnoles

    Les banquiers s’amusent de milliards

    Les cons d’ pêcheurs bouffent des homards

     

    Les agriculteurs de Bruxelles

    Touchent des radis ramassent du blé

    N’ont pas besoin d’faire la vaisselle

    Les cuisiniers taxe diminuée

     

    T’as pas compris pov’ouistiti

    L’argent suffit pas d’ le gagner

    Faut s’lever tôt pour l’ ramasser

    Les subventions service compris

     

    La prochaine fois tu t’souviendras

    Cramer une tire rend bien service

    A ceux qui les vendent et sévissent

    Trafiquent à donf se font du gras

     

    En 2012 tu voteras

    Pour Yfig si tu veux qu’ça change

    Y a que ceux qui baissent les bras

    Qui se complaisent dans la fange

  • Style = saynète ---- Genre = comédie --- Titre = Roméette et Julio

     

    ROMEETTE       ET      JULIO

    Devant le rideau rouge, face aux spectateurs.

    Metteur en scène : Mesdames, Mesdemoiselles  et Messieurs,  nous allons avoir le vif plaisir

    d’interpréter devant vous, ce soir, un acte délicieux d’Oscar Marivelle intitulé : « Roméette et Julio ».

    Le rôle de Roméette sera tenu par Melle Dubois, celui de Julio par M. Durand …

    Dupont fait irruption côté cours

    Dupont : Pardon, pardon, Julio c’est moi.

    Durand fait irruption côté jardin

    Durand : Pardon, on m’a donné le rôle. Vous  étiez malade et je suis votre remplaçant.

    Dupont : Je suis à présent rétabli et je suis ici pour tenir mon rôle.

    Durand : Trop tard ! trop tard ! J’ai appris ce rôle, nous l’avons répété avec mademoiselle

    Dubois et c’est à moi de le jouer.

    Dupont : Moi aussi je l’ai appris et je suis l’acteur principal, vous, vous n’êtes qu’une

    doublure.

    Metteur en scène : Ecoutez, M. Dupont, de toutes façons, je pense qu’il est préférable que ce

    soit M. Durand qui tienne le rôle…   C’est plus dans son tempérament que dans le vôtre… et …

    Dupont : Alors vous croyez que j’aurai appris le rôle pour rien ? Vous m’avez pas regardé ?

    Durand : Mais si on vous a bien regardé, vous n’avez pas du tout la tête de l’emploi.

    Dupont : Autant que vous … espèce de polichinelle à ressort !

    Durand : Ah mais dites donc, je vous interdis de m’insulter  espèce de mannequin biscornu !

    Metteur en scène : Messieurs, Messieurs, je vous en prie, un peu de tenue !

    Dupont : Je le jouerai ce rôle, c’est moi qui l’ai eu le premier.

    Durand : Non, c’est moi qui le jouerai, c’est pas dans votre tempérament, on vous l’a déjà dit.

    Metteur en scène : Messieurs, s’il vous plaît, un peu de respect pour les spectateurs !

    Durand : Enfin Monsieur Barbuzet, c’est à moi de le jouer n’est-ce pas ?

    Dupont : Non, non, il est à moi n’est-ce pas ?

    Metteur en scène : Nous n’avons plus le temps d’en discuter, la pièce doit commencer

    maintenant.

    Allez en coulisses, mettez-vous d’accord et commençons.

    Ils repartent chacun de son côté, cours et jardin tout en s’invectivant.

    Dupont : Vous pouvez aller vous rhabiller, canard à roulettes !

    Durand : Et vous, vous pouvez rentrer chez vous, tête d’âne chauve !

    **********   

    Le Metteur en scène passe la tête derrière le rideau.

    Metteur en scène : Mademoiselle Dubois ?

    Elle répond de derrière le rideau.

    Melle Dubois : Nous commençons tout de même ?

    Metteur en scène : Bien sûr qu’il faut commencer.

    Asseyez-vous dans le fauteuil.

    Au public : Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs veuillez nous excuser de ce petit incident sans gravité.

    La scène se passe dans un charmant petit boudoir Louis VX.

    Roméette attend avec impatience et inquiétude la visite de son fiancé car ses parents s’opposent à leur mariage … Mais place au théâtre … Les trois coups vite.

    Le rideau s’ouvre sur Roméette assise dans un fauteuil Louis VX. Elle déclame.

    Melle Dubois : Mais que fait donc mon adorééé ? Ah! mon cœur se fane de l’attendre, car

    mon cœur est une fleur qui s’est ouverte au soleil de l’amour…

    (des bruits de pas se font entendre

    Mais qu’entends-je ? Des bruits de pas ! C’est lui, le voici celui que j’aime, Julio l’homme de ma vie, le seul, l’unique …

    Les deux Julio en même temps (cours / jardin) : Me voilà mon amour.

    Roméette : Hein ! Heu ! Ha!

    Durand à Dupont : Mais fichez donc le camp espèce de m’as-tu vu !

    Dupont : Rien à faire, c’est mon rôle !

    Roméette : Mais c’est impossible.

    Dupont : Enchaînez nom d’une trompette en zinc !

    Roméette : Ah! mon Julio, votre présence me réchauffe, il fait si froid lorsque vous n’êtes pas

    là.

    Deux Julio : Roméette ma chérie, avez-vous parlé de moi à vos parents ?

    Roméette : Oui  mon Julio, mais hélas ils ne veulent pas que je devienne votre épouse.

    Deux Julio : Ciel ! Ils ne veulent pas que vous soyez ma femme ?

    Roméette : C’est ridicule. (à Dupont) retirez-vous.

    Dupont : (montrant Durand du doigt) C’est à lui de se retirer, j’étais là le premier.

    Durand : (S’agenouille aux pieds de Rométte et lui prend la main) Enchaînons, ne nous

    occupons plus de lui.

    Dupont : (S’agenouille et prend l’autre main de Roméette) C’est vous qu’on devrait

    enchaîner espèce de chimpanzé.

    Durand : Ciel ! Vos parents ne veulent pas que vous soyez notre femme … Euh .. que vous

    soyez MA femme ?

    Dupont : Ciel ! Ils ne veulent pas que vous soyez ma femme ?

    Roméette : Ils désirent me voir épouser le Comte de Saint Eczéma.

    Deux Julio : Le Comte de Saint Eczéma, ce misérable ! Eh bien je le tuerai en duel.

    Roméette : Et si c’était lui qui vous tuait, mon Julio, je n’y survivrai pas. Songez que je n’ai

    que vous dans la vie… Je n’ai qu’un Julio.

    Deux Julio : Oui vous n’avez qu’un Julio, et ce Julio, c’est moi. (ils s’affrontent) Mais plutôt

    mourir que vous voir épouser un autre.

    Roméette : Je ne saurai, non plus, renoncer à devenir votre femme.

    Deux Julio : Alors ma Roméette, nous devons fuir et nous marier clandestinement.

    (Ils se lévent et essaye d’entraîner Roméette chacun de son côté).

    Durand : Fuyons tous les deux !

    Dupont : Tous les trois ! Ah non, c’est vrai il y en a un de trop.

    Roméette (à Dupont) : C’est vous, fichez le camp.

    Dupont : C’est à lui de ficher le camp.

    Roméette : Fuyons, fuyons tous les trois … Non tous les deux. Non décidément c’est

    impossible de jouer la comédie dans ces conditions.

    Durand : Ne vous énervez pas. Reprenons .

    Fuyons tous les deux (Il l’attire vers lui, mais l’autre la retient)

    Deux Julio : Fuyons avant que vos parents ne reviennent. Mon cheval est à la grille, vous

    monterez en croupe.

    Dupont : A trois sur un canasson, on va se casser la gueule.

    Roméette : Trop tard, les voici, je les entends …..

    Deux Julio : S’ils nous trouvent ici tous les deux, que vont-ils penser ?

    Dupont : A deux ça irait encore, mais c’est qu’on est trois.

    Durand : Mais taisez-vous donc imbécile !

    Dupont : Imbécile ? Pas plus que vous crétin.

    Le père : Que faites-vous ici jeune homme ? ….. Mais ils sont deux ????

    La mère : Qu’est-ce que cela veut dire ???

    Dupont : (Montrant Durand) C’est lui, il est de trop.

    Durand : Enchaînons, enchaînons ! Euh …. Monsieur le Duc …

    Dupont : Monsieur le Duc…

    Durand : Je viens d’apprendre …

    Dupont : Je viens d’apprendre …

    Durand : L’affreuse nouvelle …

    Dupont : L’affreuse nouvelle …

    Le père :  Je peux vous la confirmer, vous n’aurez pas la main de ma fille.

    La mère : Ni l’un ni l’autre.

    Roméette : Mais voyons , vous voyez bien qu’il y en a un de trop.

    La mère : Comment ça il y en a un de trop ???

    Deux Julio (au père) : Puis-je connaître la raison de ce cruel refus ?

    La mère : Notre enfant n’épousera jamais un roturier.

    Le père :  Mais c’est ma réplique ?

    Dupont : Ah ! c’est « roturier » . Sur ma brochure il y avait écrit « rotulier », j’imaginais que

    c’était un type qui fabrique des rotules … (stupéfaction des acteurs incrédules) pour mettre dans les genoux (se croit-il obligé de préciser).

    Durand : Mais allez-vous vous taire idiot !

    Dupont : Pas plus idiot que vous andouille !

    Le père :  Enchaînons s’il vous plaît.

    Nous ne saurions tolérer une telle mésalliance.

    Deux Julio : En ce cas, il ne me reste plus qu’à mourir.

    Roméette : Ah mon Julio , je veux mourir avec vous.

    La mère : Roméette, je vous défends bien de mourir avec ces messieurs.

    Roméette : Mais vous ne comprenez donc pas qu’il y en a un de trop ?

    La mère : Un quoi ?

    Le père : Enchaînons non de non.

    Si vous voulez mourir, allez mourir ailleurs.

    Deux Julio : Je mourrai seul, j’irai m’empoisonner.

    Dupont : C’est vous qui m’empoisonnez.

    Une sonnerie de téléphone sur le petit meuble du salon. Le père décroche.

    Le père : Allô, Allô…. Oui, oui il est ici….. C’est un appel pour Monsieur Julio ….

    Deux Julio : Pour moi ?

    Ils prennent le téléphone des mains du père.

    Durand : Mais laissez-moi donc le téléphone !

    Dupont : Mais pas du tout, cet appel est pour moi, je suis Julio !

    Le père : C’est invraisemblable.

    La mère : Mais pourquoi sont-ils deux ?

    Deux Julio : (L’oreille collée au combiné) Allô, oui, c’est moi Julio, oui, bonjour Maître.

    Ah pas possible, mon Dieu oui, j’arrive tout de suite. Merci Maître.

    Durand : Mon notaire …

    Dupont : Viens de m’apprendre …

    Durand : Que j’hérite de ma défunte tante …

    Dupont : de vingt millions de francs

    Le père : Vingt millions ! Mais alors, plus rien ne s’oppose à ce que vous épousiez notre

    Roméette.

    La mère : Vingt millions chacun, ça fait quarante en tout.

    Roméette : Mais voyons, ils sont un seulement !

    La mère : Je ne comprends rien du tout !

    Silence.

    Le père (à la mère) : C’est à vous !

    La mère : Quoi, les vingt millions ?

    Le père (à la mère) : Mais non espèce de gourde... la réplique, la réplique.

    La mère : Ah oui ! …

    Euh ! Cher jeune homme, comme je serais heureuse de vous avoir pour gendre… tous les deux.

    Roméette : Il n’y a rien à tirer de cette femme là !

    Le père : donnez-moi votre main jeune homme. (Ils tendent tous deux la main. Le père met les deux mains dans la main de Roméette) Voici celle de ma fille.

    Roméette : Chers parents, comment vous remercier pour tant de générosité ?

    Deux Julio : Chers parents, Je puis donc enfin vous appeler « chers parents ».

    Le père (à la mère) : Retirons-nous chère épouse ! Laissons seuls ces deux tourtereaux.

    La mère : Oui, Eugène, laissons les à leur bonheur … tous les trois.

    Deux Julio : Je ne puis croire à ma félicité. Ah ma Roméette, maintenant que vous allez

    devenir ma femme, m’accorderez-vous vos lèvres ?

    Roméette : Prenez les mon cher amour …..(Ils essayent tous les deux de l’embrasser).

    Mais pas tous les deux voyons, arrêtez, vous m’étouffez …

    Dupont : C’est pour moi.

    Durand : Non c’est pour moi.

    Roméette : (les repousse et se lève) J’en ai assez, je m’en vais, débrouillez-vous sans moi.

    Deux Julio : Mais ….. Mon baiser …. !

    Ils se retrouvent seuls

    Dupont : Vous, je vais vous casser la figure.

    Durand : Vous, je vais vous démolir le portrait.

    Rideau !  Rideau !

  • Bogosse

     

    Bogosse

     

    Elles pensent que j'ai grande maison

    Gros saucisson, rosette de Lyon

    Du caviar du foie gras un avion

    Des terrains enchantés  de gazon

     

    J'habite un HLM en banlieue de Harlem

    Mon toit est de tôles de Mathusalem

    Mes biquettes sont tout mon harem

    J'ai un simple arbre exfolié pour totem

     

    Elles disent que je suis beau grand

    Intelligent stupéfiant magnifiant

    Que mes yeux sont velours et feu

    Mes mains douces comme celles des Dieux

     

    Je suis souffreteux adipeux anguleux

    Mes pensées sont puisées dans le creux

    A l'ouvrage je suis un gros fainéant

    En amour tout à fait désolant débandant

     

    Elles me veulent toutes dans leurs bras

    Me serrer caresser cajoler embrasser

    C'est trop beau je suis dans l'embarras

    J'ai un doute serait-ce ma fortune visée

  • Hadopi, tu l'aimes ou pas ............... elle te nique !!!

     

     

    Un mauvais élève internaute annonce :

     

    « Hadopi va surveiller 10 000 titres dont 5000 qui seront au prorata des ventes.
    Ce qui revient a dire que ce sont toujours les plus gros qui gagneront encore plus.
    Au détriment de la protection des moins gros. »

     

    Hadopi est plus malin que toi !

     

    Le principe est le suivant :

    Impossible d'éviter le piratage. OK


    Mais ........ il faut une compensation, n'est-ce pas ?

    Alors on va prélever plus d'argent sur les connexions internet, on va faire payer la baisse du chiffre d'affaires par l'Etat alors que cette baisse n'est pas du tout liée au piratage mais tout simplement, comme dans tous les domaines de l'art, à la qualité de plus en plus minable des artistes (qui, pour ceux qui en vivent, font tous partie d'un cercle d'initiés).

    Franchement, les chansons n'ont plus de paroles, les chanteuses et chanteurs n’ont plus de voix et les musiques se ressemblent toutes.

    Souvenez-vous des victoires de la musique avec le premier prix à la fille de machin !


    En peinture, on a droit à des japoniaiseries au château de Versailles.

    Au cinéma, on voit toujours les mêmes qui s'auto congratulent à la télé en tournantes ..... les uns après les autres dans toutes les émissions sur toutes le chaînes ..... essayez, vous, d'obtenir une seule seconde de télé, vous m'en direz des nouvelles !!!!! Et pourtant, on peut voir de grands talents sur internet !

    Il n'y a plus de musique classique (sur les médias tenus par le gouvernement et les patrons ...) et pourtant, si vous cherchez, on a de très bons musiciens .... pas de pot, ils ne font pas partie de la grande famille !!!

    Le théâtre est désormais phagocyté par quelques branleurs qui ont compris que le théâtre vit de subventions et qui ont décidé de ne pas laisser cet argent à d’autres !

     
    Et comme ça partout ....

    Conclusion :
    Hadopi prétend définir quels sont les bons artistes, ceux qui toucheront les pépettes des subventions qui seront payées sur nos impôts aux Majors ..... les autres, les rejetés du système n'ont plus qu'à crever !!!!!

    Allez, bons téléchargements ! L’essentiel étant de ne pas se faire prendre !

  • L'équipe à Ruquier et ses gros niqueurs nous fait rire avec "Il est grand temps d’aller vous coucher"

     

    Mesdames messieurs bonsoir,

     

    Ceux qui n’ont pas pu ou pas voulu venir ce soir à notre émission :

     « Il est grand temps d’aller vous coucher »

     

    M. Kouchner n’a pas voulu venir ….

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Il compte les sacs de riz au Boukistan.

     

    Fadela Amara ne viendra pas ce soir …

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Elle cherche un nouveau logement pour son frère.

     

    Michel Drucker n’a pas voulu venir …

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Il surveille la construction de sa villa sur le site protégé d'Eygalières dans les alpilles.

     

    Jacques Chirac ne viendra pas non plus …..

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Il est en vacances avec Bernadette chez Carla Bruni Tedeschi au Cap Nègre.

    La HALDE a demandé que le Cap Nègre soit rebaptisé en Cap de couleur.

     

    Monsieur Borloo ne nous joindra pas ce soir …

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Il est en retraite aux chais de Bordeaux et du Bourgogne réunis.

     

    Madame Bachelot n’a pas pu se déplacer …

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Elle a la grippe.

     

    D’ailleurs, mère Thérésa n’a pas pu venir non plus ….

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    RIP

     

     

     

    Et maintenant, je vous demande de réserver le meilleur accueil à nos chers invités :

     

    Madame Nostalgie qui vient d’écrire une chanson intitulée ‘Reggiani’

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  bravooooooooooooooooooooo !!!!! »

     

    Monsieur Oui-oui qui vient d’écrire un livre qu’il a intitulé ‘Oui-oui à Matignon’ en hommage à Linonel Jospin qui n’a pas voulu venir ce soir.

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Lionel s’entraîne sur l’île d Ré pour les prochaines présidentielles de 2012, son coach est JM Le Pen.

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  bravooooooooooooooooooooo !!!!! »

     

    (en aparté : quels cons ce public !)

     

    Mon troisième invité est  …..  euh ……  zut, c’est qui, déjà ???

    AH OUI ! c’est Brigitte Fontaine …

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  bravooooooooooooooooooooo !!!!! »

     

    Oui, elle vient pour son dernier film : « moi aussi j’en veux du nougat aux betteraves »

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  bravooooooooooooooooooooo !!!!! »

     

    (en aparté : mais ils ne savent dire que ça !!!)

     

    C’est un film pas historique mais presque.

    C’est la vraie fausse vie de la duchesse de Monpucier, qui faillit épouser le vicomte de la Merdenvrac et qui finit comme dame pipi à la gare St Lazarre.

    C’est absolument pas-sionnant, hilarant, tordant, morbide, horrible, pétrifiant, stupéfiant, mordant, époustouflant, tournicotant, béatifiant, trouducufiant, cornegidouillant, purgatifiant, cocufiant, acidifiant, smoutrant …. Les acteurs sont vraiment extrapaordinaire et les actrices pas mieux !

    Il en pense quoi Cémour ?

    Hein ?

     

    Ah ! Il aime pas, il trouve ça sans intérêt et sans histoire et qu’il y a trop d’étrangers en situation irrégulière dans ce film !!

     

    Ben on s’en fout !

     

    Et Nullot, il en pense quoi, lui ?

     

    Que  Cémour est un xénophobe !

     

    Ben franchement qu’est-ce qu’y veut que ça nous fasse ?

     

    Bon et voici mon dernier invité pour ce soir : le père La Chaise !

     

    Il attrape la chaise et s’assied dessus.

     

    Allez, on va demander à John Attend Lambert de nous faire rire.

     

    Ah ! Catering Barma me dit dans l’oreillette que John Attend s’est cassé un cheveu et qu’il ne viendra pas ce soir ….

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  nooonnnnnnnnnnnnnn !!!!! »

     

    Bon ! ça suffit le public, écrasez-vous !

     

    Le public : « oooooooooohhhhhhhhhhhhhh  bravooooooooooooooooooooo !!!!! »

     

    Alors c’est Oui-oui qui vient s’asseoir dans le fauteuil pour nous parler de sa vie bouleversifiante pendant que les Eric et moi on va s’en griller une petite dehors.

     

    Allez ! à la prochaine ! et ne tardez pas à aller vous coucher !!!!! à la niche  ……  fiscale Ouah ouah ouah !!!!!!!!!!!!!