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Loisirs - Page 3

  • Ce texte n'a reçu aucun prix et n'a pas été apprécié ...... j'y peux rien, merde !

     

    Yfig

     

    Le 13 février 2012

     

    • USA : perdre son logement dans un pays où le président s’appelle Barack

     

    Les personnages :

     

    Sean Goldmann  :  Banquier – attaché de clientèle de la banque Sachs et Goldmann.

     

    Jack Sachs : C’est l’agent immobilier de la banque Sachs et Goldmann chargé de vendre la maison des Baraque ….

     

    Marcel Baraque : Client endetté qui vient demander des délais de paiement et se fait piquer sa baraque.

     

    Priscilla Baraque : Sa femme

     

     

     

     

     

    Sean Goldmann  (à la porte de son bureau, accueille ses clients) : Entrez, je vous en prie.

     

    (Marcel et Priscilla entrent et s’asseyent dans les chaises que leur montre Sean qui lui-même se rassoit  derrière son bureau.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Que me vaut le plaisir ?

     

    (Marcel et Priscilla ouvrent de grands yeux, ils se regardent, visiblement ils ne comprennent pas le langage des banquiers.)

     

    Sean Goldmann  (Derrière son bureau) : Pouvez-vous me dire ce qui vous amène ?

     

    Marcel Baraque : On voudrait faire un emprunt.

     

    Sean Goldmann : Un emprunt pour quoi faire ? Consommation courante ? Achat de véhicule ? De bien immobilier ? Investissement spéculatif ?

     

    (Marcel et Priscilla restent cois et interrogatifs, ils échangent des regards interrogatifs, puis Marcel se lance)

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour un emprunt pour payer une dette.

     

    Sean Goldmann : Une dette ?  Quelle sorte cette dette ?

     

    Marcel Baraque : Ce serait pour payer la maison.

     

    Sean Goldmann : Pour acheter une maison ?

     

    Marcel Baraque : Non, non, c’est pour rembourser un crédit qu’on n’a pas pu payer.

     

    Sean Goldmann : Mais qui est votre banquier ?

     

    Marcel Baraque : Ben …. C’est vous monsieur Goldmann.

     

    Sean Goldmann : Vous avez un compte chez nous?

     

    Marcel Baraque : Ben …. Oui !

     

    Sean Goldmann (semble soudain beaucoup moins aimable) : Votre nom, je vous prie ?

     

    Marcel Baraque : Baraque.

     

    Sean Goldmann : Comme notre président ?

     

    Marcel Baraque : Non, pas tout à fait, je descends d’une vieille famille française et mon nom ne s’écrit pas comme le prénom de notre président !

     

    Sean Goldmann (tapote sur le clavier de son ordinateur)  : Je ne trouve pas, vous pouvez épeler ?

     

    Marcel Baraque : B A R A Q U E

     

    Sean Goldmann : Votre prénom est Marceule (il prononce à l’américaine)

     

    Marcel Baraque : Ca se prononce ‘Marcel’

     

    Sean Goldmann : Vous êtes né ?

     

    Marcel Baraque : Ici, à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Et vous madame, votre prénom et lieu de naissance ?

     

    Priscilla Baraque : Priscilla, née ici à Obama dans l’Oklahoma.

     

    Sean Goldmann : Eh bien vous avez bien fait de venir, vous allez m’éviter de vous envoyer un courrier de 4$, à vos frais, pour vous convoquer. Vous n’avez pas payé vos trois dernières traites pour le remboursement du prêt de votre maison. Nous avons entamé une procédure de poursuites.

     

    Priscilla Baraque : Ben …  nous sommes là pour cette raison, pour demander votre aide.

     

    Sean Goldmann : Selon votre dossier, vous avez acheté votre maison il y a six mois et ça fait trois mois que vous ne payez déjà plus ! Vous n’avez pas honte ?

     

    Marcel Baraque : J’ai perdu mon boulot le jour où nous avons emménagé. J’étais convoyeur de fonds pour votre banque mais vous m’avez viré le jour où nous avons signé le prêt.

     

    Sean Goldmann : Moi je ne suis que chargé de clientèle, je n’y suis pour rien.

     

    Priscilla Baraque : Ben ….  Si …  vous pouvez nous faire un prêt pour qu’on vous rembourse notre retard.

     

    Sean Goldmann : Mai si je vous faisais un prêt, avec quoi le rembourseriez-vous ?

     

    Marcel Baraque : Je vais retrouver du boulot, on est en Amérique, quand même, tous les rêves sont possibles !

     

    Sean Goldmann : Oui à condition d’avoir de l’argent !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann : Bon, vous en avez de l’argent, parce que sinon on va vous prendre votre maison pour nous rembourser nous-mêmes.

     

    Marcel Baraque : Vous ne pouvez pas faire ça !

     

    Sean Goldmann : Ah bon ! Et pourquoi on ne pourrait pas faire  ça ?

     

    Marcel Baraque : Parce que dans ce cas là vous allez perdre de l’argent, puisqu’on ne vous paiera pas !

     

    Sean Goldmann : On vendra votre maison et on gardera l’argent !

     

    Priscilla Baraque : Si vous faites ça, je vous tue !

     

    Marcel Baraque : Euh ! Ma femme veut dire qu’on vous fera un procès.

     

    Sean Goldmann : Faudrait que vous ayez de l’argent pour payer l’avocat, ces gens là ne travaillent par pour rien !

     

    Priscilla Baraque : On empruntera, vous n’êtes pas la seule banque des Etats Unis !

     

    Sean Goldmann : Avec votre taux d’endettement, personne ne voudra vous faire crédit.

     

    Priscilla Baraque : On vendra la maison.

     

    Sean Goldmann : Elle nous appartient, elle est hypothéquée.

     

    Priscilla Baraque : Dans ce cas vous n’avez qu’à payer vous-même les mensualités.

     

    Sean Goldmann : Non ! Je vais tout reprendre depuis le début parce que vous semblez ne pas bien comprendre dans quelle situation vous vous êtes fourrés !

     

    Marcel Baraque : Dites plutôt que c’est vous qui nous y avez fourrés !

     

    Sean Goldmann : Vous n’aviez qu’à pas signer.

     

    Marcel Baraque : Vous êtes venu nous chercher.

     

    Sean Goldmann : Mais c’est n’importe quoi !

     

    Priscilla Baraque : Depuis combien de temps travaillez-vous pour la banque, monsieur ….. monsieur comment, déjà ?

     

    Sean Goldmann : Monsieur Sean Goldman, attaché de clientèle à la banque Sachs and Goldman depuis une semaine.

     

    Priscilla Baraque : Eh bien vous n’étiez donc pas là quand nous avons signé, vous ne savez rien de ce qui s’est passé !

     

    Sean Goldmann : Je travaillais pour la succursale de  Ralleigh, North Caroline(prendre l’accent américain), nous pratiquons partout de la même manière.

     

    Marcel Baraque : Alors vous savez bien que vous nous avez embarqués dans vos sales combines.

     

    Sean Goldmann : Dites donc, restez polis !

     

    (Un silence)

     

    Sean Goldmann  (pianotant sur le clavier de son ordinateur) : Bon ! Je contacte notre agent immobilier nous verrons ce que nous pouvons faire.

     

    Priscilla Baraque : Il va sûrement tout faire pour nous rendre notre argent.

     

    Sean Goldmann : Tout dépend de la valeur résiduelle de votre bien …. Mais je ne veux pas anticiper sur les conclusions de notre expert.

     

    Marcel Baraque : Alors après nous avoir vendu un crédit, vous nous avez foutu à la porte et maintenant vous voulez nous piquer la maison que vous refusez de nous aider à payer et c’est votre expert que vous avez envoyé … parce que nous l’avons bien vu roder autour de notre maison, votre expert …

     

    Sean Goldmann : Ecoutez monsieur Baraque, si vous ne voulez pas qu’on vous aide, je vous envoie les huissiers et vous vous débrouillez avec eux !

     

    Priscilla Baraque : Envoyez les … on les tue !

     

    Marcel Baraque : Ma femme veut dire qu’on ne leur ouvrira pas la porte.

     

    Sean Goldmann : Ouaip ! Vaut mieux pas avancer des menaces !

     

    Priscilla Baraque : La menace, c’est vous et ça craint !

     

    Jack Sachs (fait son entrée – très jovial, il tend la main aux époux Baraque) : Bonjour, bonjour,  non, non ne vous levez pas …  je suis Jack Sachs, conseiller immobilier de la banque Sachs et Goldman, comment allez-vous ?

     

    Priscilla Baraque : Merci, très mal !

     

    Marcel Baraque : On ne peut plus mal !

     

    Jack Sachs : Allons, allons, tout peut s’arranger dans la vie, il faut la prendre du bon côté !

     

    Marcel Baraque : Plus facile à dire qu’à faire !

     

    Sean Goldmann : Jack, vous connaissez, je crois, les époux Baraque ? Vous êtes allé voir leur maison pour en faire une évaluation, c’est bien ça ?

     

    Jack Sachs : Mais oui, bien sûr, très jolie maison, très bien située, un bel investissement ….

     

    Sean Goldmann : Les époux Baraque ne paie plus les traites de leur emprunt et nous nous voyons dans l’obligation de saisir la maison pour la revendre et nous payer de notre prêt.

     

    Jack Sachs : Ah ! Oui, non, je confonds, c’est Baraque votre nom ? Oui, ah ! je pensais à la maison des Barbaque, vous voyez, c’est presque pareil …  mais la maison, non, c’est pas pareil du tout, la votre est très mal située, complètement invendable, surtout que le terrain est humide et le voisinage, Oh ! la la ! le voisinage, pas fréquentable le voisinage  ….  Personne ne voudra d’une maison comme ça !

     

    Priscilla Baraque : Mais vous vous moquez de nous,  c’est pas possible, notre maison est toute neuve, dans un ensemble résidentiel avec commerces, hôpital, salle de sport, piscine et   …..

     

    Jack Sachs : Je suis désolé chère petite madame, mais les propriétaires de votre ensemble résidentiel sont en train de vider les lieux, la plupart ne peuvent plus payer leurs mensualités leurs maisons sont vendues au plus offrant et les nouveaux propriétaires sont très     comment dire …. très …

     

     Marcel Baraque : Cherchez pas, on a compris, vous êtes en train de vous payer notre tête, mais nous demanderons une contre expertise …..

     

    Sean Goldmann : Et vous le paierez comment l’expert ?

     

    (Un silence)

     

    Jack Sachs : En tout cas, j’ai fait une évaluation de votre bien et je pense que nous pouvons le mettre en vente à 150.000 $

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs) : Quoi ! Mais nous avons emprunté 250.000 $

     

    Jack Sachs : Je vous ai donné les raisons de mon évaluation, voulez-vous que je vous les rappelle …

     

     Marcel Baraque : Si nous vendons notre maison pour seulement 150.000$, qui paiera les autres 100.000 ?

     

    Sean Goldmann : Il est évident que puisque vous aviez emprunté 250.000$ si nous reprenons votre maison pour 150.000$ vous devrez continuer de nous rembourser les 100.000$ de différence, nous vous faisons cadeau des frais d’expertise, mais il y aura des frais de dossier et de levée d’hypothèque et …..

     

    Marcel Baraque (hurle très en colère) : C’est du vol, de l’escroquerie,  de la filouterie, nous allons porter plainte, vous ne vous en tirerez pas comme ça !!!

     

    Priscilla Baraque (très animée, au bord de la crise de nerfs elle se lève menaçante …) : Je vais vous  tuer !

     

     Marcel Baraque : Et moi je vais la laisser faire …  je vais même l’aider ….  (il se lève et se lance dans la bagarre avec sa femme …)

     

    (s’en suit une grande confusion … tout le monde se débat …se tape dessus et crie)

     

    Sean Goldmann (crie) : Sécurité … sécurité … sécurité ….

     

     

     

    (Tout le monde s’arrête et ils partent sauf Priscilla qui reste devant le public)

     

     

     

     

     

     

     

    Priscilla Baraque : Toute cette farce est une pure fiction et n’est absolument pas inspirée de faits réels ayant existés, nous savons bien, vous et moi, que ce genre de situation n’est jamais arrivée et n’arrivera jamais. C’est pourquoi il vaut mieux en rire !

     

     

     

    Tout le monde rit

     

     

     

     

     

    FIN

     

     

     

  • Pièce de théâtre (comédie de boulevard) : Un psy peut en cacher un autre

     

    Comédie de boulevard de deux actes de cinq tableaux chacun


     

    Une pièce qui répond bien au nom de comédie de boulevard. Je dirais même plus, comédie de boulevard du boulevard du boulevard… tant la caricature domine l'intrigue et les personnages.

     

    Une pièce dans les règles du vaudeville et de la comédie de boulevard, ça oui, il n’y a aucun doute là dessus l’exercice est réussi. Un scénario découpé de manière équilibrée ce qui sert le rythme, les intrigues et situations qui s’y succèdent avec il est vrai une belle énergie.

     

    Une chute qui fonctionne et qui surprend, tout cela est très bien, avec une maîtrise des rouages de la structure. Les dialogues font mouche et sont rythmés.

     

    Les personnages sont des caricatures bien faites, on se met aisément dans leur peau, à tous, et ça les rend humains.

     

     

    - 1 heure 30
    - 13 personnages

     

    Minimum : 1 actrice - 3 acteurs (1 acteur pouvant se grimer en actrice)

     

    Maximum : 6 actrices - 7 acteurs



     

     

  • Pièce de théâtre (comédie de boulevard) : Un raout chez les ploutocrates

     

    Un raout, c’est une soirée mondaine.

     

    Les ploutocrates sont des personnes fortunées qui influencent la vie politique par leur argent.

     

     

     

    Autant vous dire qu’il y a du beau linge à cette soirée mondaine.

     

    Des gens des lettres et des arts, du spectacle, des hommes politiques, des éditeurs, des producteurs de films , et même des demi-mondaines.

     

    Mais on s’apercevra vite que tout ce beau monde ne se fait pas de cadeaux.

     

    Bien entendu, le spectateur, lui, n’est pas là pour s’ennuyer, alors, croyez-moi, c’est une franche rigolade.

     

     

     

     

     

     

     

    Comédie de boulevard et de mœurs contemporaines en 3 actes de 3 scènes chacun

     

     

     

    Durée estimée : 2 heures (avec un entracte)

     

     

     

    40 personnages pour une trentaine d’acteurs.


    Edité sous forme de livre de poche 5

     

  • Ma concierge dans tous ses états ! Le gouvernement (des farces et attrapes) décide de faire des gardiens d’immeubles des auxiliaires de police …….

     

     

    Ma concierge dans tous ses états !  Le gouvernement (des farces et attrapes) décide de faire des gardiens d’immeubles des auxiliaires de police et en conséquence les arme d’un toufou, d’un pistolet à amorces, d’une bombe de chantilly …….


     

    Après la décision de faire soigner les ruraux par les vétérinaires, le gouvernement jamais à court d’idées gaguesques, décide d’utiliser les gardiens d’immeubles comme auxiliaires de police.

     

    Le toufou est une espèce de bâton à la con inspiré des feuilletons américains des années soixante. Son maniement relève de l’activité du cirque et son efficacité est plus incertaine qu’une tapette à mouches.

     

    Le pistolet à amorces, jouet préféré pour noël de nos jeunes années (années soixante, toujours) est un petit jouet léger et cassable qui fait péter des amorces rouges qu’on insère en faisant bien attention de ne pas se faire pincer les doigts.

     

    La bombe chantilly remplace la bombe lacrymogène jugée par trop agressive pour des concierges pas toujours aimées des locataires qui doivent leur donner tous les ans des étrennes quelque soit le temps qu’il fait.

     

     

     

    Ainsi, dans la foulée des loi anti génocide, les concierges se trouvent être les toutes dernières victimes de la sénilité précoce du gouvernement sarkozyste qui ne sait plus quoi inventer pour divertir les français de leurs préoccupations majeures qui concernent le manger, le coucher et le chauffage.

     

     

     

    Des fuites laissent à penser que la prochaine décision rigolote du gouvernement consistera à faire remplacer les maires par les cantonniers (qui dans le fond ne sont pas plus cons que d’autres !)

     

     

     

    Je ne vous dis pas l’état de ma concierge !!!!

     

    Elle accueille les locataires de l’immeuble dans le hall d’entrée, son balai à la main, la serpillière dans l’autre et le toufou dans sa main libre ….. elle fait ainsi une démonstration ‘live’ de ce que lui impose le gouvernement : balayer en lavant et en tabassant les intrus indésirés.

     

    Nous avons déjà trois enfants de 3, 5 et 6 ans à l’hôpital, une grand-mère (la vieille bigote du cinquième) gisant dans une mare de sang dans l’annexe aux vélos et une femme enceinte assommée sur l’essuie pieds.

     

    Moi, je passe par le garage du sous-sol et j’évite le hall …. Bien trop dangereux !

     

    Le petit Belgacem qui avait son tabouret dans le hall et vendait des petits paquets de shit de troisième catégorie (coupé aux épinards de Tobrouk) a été expulsé manu militari et se retrouve tout con sur le trottoir entièrement recouvert de crème chantilly.

     

    Si la situation n’était pas si dramatique …..  on en sourirait !!!!!

     

     

     

    Vive la France et les idées cataclysmiques de nos chers bureaucrates.

     

     

     

     

  • Intermède cultuel ….. Le Carlton par ci, le Carlton par là …. Mais nous aussi on en a des 5 étoiles proxénètes !

    Cultuel, nous sommes bien d’accords, c’est tout ce qui a trait au cul !

     

    Par un bel après-midi d’été où le soleil faisait rôtir les naïades  imprudemment allongées sur la plage insalubre du Butin , on m’avait envoyé chercher quelques pintades clientes de l’hôtel qui a la vue sur les gigantesques citernes du port, les cheminées jumelles de la centrale thermique et les flammes perpétuelles des raffineries de l’estuaire.

     

    Il faisait si chaud que je suis entré dans le hall de réception pour y trouver un peu d’ombre à défaut de fraîcheur.

     

    J’ai eu alors l’occasion d’admirer un balai de jeunes filles plus ou moins habillées qui venaient au rencart pour savoir si leur client était prêt pour le massage qu’il avait commandé ….

     

    Le groom, le pauvre, avait pour mission d’appeler ledit client puis de transmettre à la kinésithérapute le résultat de ses investigations !

     

     

     

    On fait trop semblant de l’ignorer mais le tourisme « santé soins du corps » est en plein expansion dans l’hostellerie française depuis que la TVA est passée à 5% et le récent passage à 7% ne découragera pas les accrocs de la « pipebranlette » Mc do !!!!

     

     

     

    Non, vraiment, ce qu’il faudrait c’est faire passer la TVA sur la turlutte à au moins 30% pour remplir prestement les caisses de l’Etat.

     

  • Roméo et Juliette revisité par mézigue, ça donne : "Roméette et Julio" librement inspiré de Shakespeare !

     

     

    Julio aime Roméette ..... mais .... Julio aussi est amoureux de Roméette.
    Lequel de ces deux prétendants obtiendra la main de la jeune femme ?
    La vie n'est pas simple, surtout quand les parents de la jeune fille s'opposent à toute union entre ces 3 enfants ..... heu .... non, entre ces 2 tourtereaux ..... enfin, bon ... regardez et vous comprendrez !!!!!

     


  • Les élites regardent les gens d'en bas avec dédain et condescendance !

     

    J'ai longtemps cru qu'il fallait éduquer le peuple, mais ce sont les artistes qu'il faut éduquer.

    Tant que les artistes seront des produits de marketing, le peuple s'en détournera !

    La loi hadopi ne fait que retarder leur disparition.

    Ils peuvent toujours mettre tous les remparts qu’ils veulent autour d’eux, cela ne palliera jamais leur misérabilisme.

    On ne remplace pas le talent par des lois.

    Je me réjouis, personnellement de la décrépitude du monde des arts, c’est la réponse du peuple à l’élite et HURLER qu’on a du génie, c’est du bruit pour rien.

    Certains privilégiés bénéficient de promotions exorbitantes sur les radios et les télés ….. mais ils continuent de s’enfoncer.

    La CNC distribue généreusement 565 millions d’euros aux amis des amis et malgré cela, le cinéma est mort.

    La dictature de l’argent ne se nourrit que d’argent …….  C’est l’histoire du roi Midas et de ses longues oreilles …… l’argent ne nourrit pas.

    Acheter des encarts publicitaires  peut donner le change un moment, mais le filon finit par s’épuiser des deux bouts : lassitude du public et ruine du commanditaire.

    Ce n’est pas la qualité des textes qui est mise en cause, c’est son objet.

    Quand on se croit au dessus des autres, on ne peut les entendre, et on ne peut les représenter.

    Quand les politiques redescendront sur terre, ils seront particulièrement surpris de voir l’état du peuple !

    Quand les artistes et les philosophes rejoindront le peuple (je ne parle pas de ce bouffon de Onfray qui enseigne Kant à des vieillards délabrés et béats d’admiration crédule), ils seront stupéfaits de constater la richesse intellectuelle des petites gens et l’ironie crasse dont ils sont les sujets.

    Si Villon venait passer ses vacances sur terre, il serait effaré, puis, reprenant ses esprits, et puisant son inspiration de la foule, il nous chanterait notre connerie dans le tuyau de l’oreille jusqu’à nous faire péter le tympan.

  • Une poule sur un mur ..... la France n'est-elle plus qu'une basse-cour emplie de joyeux caquetages ?

    Comptine pour enfants.

     

  • Noël approche, Nicolas et Carla vont fêter ça en famille ..... et les SDF ?

    Tiens tes promesses, Nicolas, ouvre l'Elysée aux SDF pour Noël et prête leur Carla pour les réchauffer !

    Si Rachida Dati voulait bien leur faire une petite inflation .......

     

  • Hadopi, tu l'aimes ou pas ............... elle te nique !!!

     

     

    Un mauvais élève internaute annonce :

     

    « Hadopi va surveiller 10 000 titres dont 5000 qui seront au prorata des ventes.
    Ce qui revient a dire que ce sont toujours les plus gros qui gagneront encore plus.
    Au détriment de la protection des moins gros. »

     

    Hadopi est plus malin que toi !

     

    Le principe est le suivant :

    Impossible d'éviter le piratage. OK


    Mais ........ il faut une compensation, n'est-ce pas ?

    Alors on va prélever plus d'argent sur les connexions internet, on va faire payer la baisse du chiffre d'affaires par l'Etat alors que cette baisse n'est pas du tout liée au piratage mais tout simplement, comme dans tous les domaines de l'art, à la qualité de plus en plus minable des artistes (qui, pour ceux qui en vivent, font tous partie d'un cercle d'initiés).

    Franchement, les chansons n'ont plus de paroles, les chanteuses et chanteurs n’ont plus de voix et les musiques se ressemblent toutes.

    Souvenez-vous des victoires de la musique avec le premier prix à la fille de machin !


    En peinture, on a droit à des japoniaiseries au château de Versailles.

    Au cinéma, on voit toujours les mêmes qui s'auto congratulent à la télé en tournantes ..... les uns après les autres dans toutes les émissions sur toutes le chaînes ..... essayez, vous, d'obtenir une seule seconde de télé, vous m'en direz des nouvelles !!!!! Et pourtant, on peut voir de grands talents sur internet !

    Il n'y a plus de musique classique (sur les médias tenus par le gouvernement et les patrons ...) et pourtant, si vous cherchez, on a de très bons musiciens .... pas de pot, ils ne font pas partie de la grande famille !!!

    Le théâtre est désormais phagocyté par quelques branleurs qui ont compris que le théâtre vit de subventions et qui ont décidé de ne pas laisser cet argent à d’autres !

     
    Et comme ça partout ....

    Conclusion :
    Hadopi prétend définir quels sont les bons artistes, ceux qui toucheront les pépettes des subventions qui seront payées sur nos impôts aux Majors ..... les autres, les rejetés du système n'ont plus qu'à crever !!!!!

    Allez, bons téléchargements ! L’essentiel étant de ne pas se faire prendre !